Milan a cru au hold-up éclair mais les tergiversations de Niang ont donné envie à l’arbitre de siffler la fin du match. Naples reste en tête de la Série A. Qu’est-ce que c’est faible Milan…
Superbe victoire de Manchester City face à l’ennemi United (4-1) dans le 166e derby de Manchester. À l’Etihad Stadium, les Citizens ont offert un véritable récital à leurs supporters, explosant par la même occasion leur plus sérieux concurrent au titre. Nasri a brillé, Touré a rayonné.
Malmené pendant 25 minutes, Lyon s’impose finalement assez nettement face à Nantes (3-1) qui regrettera un but injustement refusé en début de match. Cette victoire, l’OL la doit à Grenier, une nouvelle fois décisif sur coup franc, mais surtout au duo des bannis Gomis-Briand, auteurs de deux buts et d’une passe décisive. Sans aucun sentiment de revanche envers Aulas, bien sûr.
La Roma tient sa revanche, l’Inter en passe 7 à Sassuolo
La Roma tient sa revanche, l’Inter en passe 7 à Sassuolo
Une belle journée de Serie A : la Roma remporte le derby romain (2-0) et reste en tête du classement, la Juve s’impose 2-1 face au Hellas Vérone, la Fiorentina gagne 2-0 sur la pelouse de l’Atalanta, et l’Inter va en claquer sept sur le terrain de Sassuolo. Ce soir, Milan-Naples.
Sacré dimanche de derby. Ici, c’est celui de Manchester. Citizens vs Red Devils. Champion 2012 vs champion 2013. Nasri vs Évra. Bref, que du bonheur. L’enjeu : recoller au haut de classement. Le perdant, s’il y a, se retrouvera à 5 points d’Arsenal ce soir.
Depuis l’arrivée de QSI, le PSG est entré dans une ère nouvelle, sur le terrain, avec des stars, mais aussi dans les tribunes, avec un nouvel habillage du Parc et une volonté affirmée de transformer le public. Pour que rien ne vienne perturber cette belle vitrine, le club de la capitale exerce un contrôle étroit sur ses supporters, allant bien au-delà de la légitime lutte contre la violence et les discriminations.
Ce dimanche, Manchester United peut espérer frapper un grand coup chez le voisin City grâce à son duo d’attaque infernal, Wayne Rooney et Robin van Persie. Ne cherchez pas plus loin : sur la planète football, actuellement il n’y a pas mieux. Et on vous dit pourquoi.
Dans cette équipe napolitaine faite d’Espagnols, d’Argentins, de Suisses et d’Uruguayens, une petite tête à crête fait son numéro. Il s’appelle Lorenzo Insigne, il est né à 12 bornes de Naples, et il a tout pour devenir un grand, un très grand. Ce soir, San Siro l’attend.
Exit le classique PSG-OM, bonjour PSG-ASM. Ce duel, que beaucoup ont déjà surnommé cashico, est la nouvelle arme de la Ligue 1 pour se propager à travers le monde. L’objectif ? Faire aimer le championnat français à nos voisins européens en surfant sur les hypes Liga et Bundesliga. Le problème ? Une seule grosse affiche ne suffira pas à améliorer l’image pourrie dont pâtit la L1…