En début de saison, il avait tout de la victime idéale. Sauf qu’en six mois, Sean Dyche, physique de déménageur et voix d’accro à la cigarette, a fait comprendre que ni lui ni son équipe de Burnley ne comptaient se faire taper dessus sans répondre. Portrait.
93′ : C’est terminé ! Les Gunners ont fait le taf face à un adversaire qui n’avait rien à espérer cet aprem. On aura vu trois superbes buts. Oui, les hommes de tonton Arsène sont fin prêts pour le game face à Monaco mardi soir. En attendant, Arsenal revient temporairement à un point de City au classement.
Allez, passez une bonne soirée, soyez sages mais pas trop. On vous aime !
Relégué en Serie B l’an passé, Palerme réalise actuellement une saison honorable parmi l’élite, avec à sa tête un homme qui résiste (pour l’instant) à l’hystérie du président Zamparini. Giuseppe Iachini, un petit homme à l’origine de grandes choses.
Avant d’affronter le FC Barcelone ce week-end, dire que la dynamique d’Eibar est mauvaise ressemble à un doux euphémisme. Avec sept défaites consécutives en Liga, les Basques sont à l’ouest. Mais pourquoi ?
Espanyol Barcelone et Atlético Madrid ont en commun Miguel Ángel Benítez. Lors de cette affiche, le 20 février 2000, le Vicente-Calderón avait été le théâtre de l’une des plus horribles blessures de l’histoire de la Liga.
Incapable d’enchaîner deux succès de suite depuis le début de saison, le Hertha Berlin se trouve encore une fois sous la menace de la relégation. Une habitude pour un club qui fait de Berlin la pire capitale européenne en matière de foot. Eh ouais, on ne peut pas être bon partout…
« J’aimerais échanger mon portable contre un cercueil parce que ces types ont bousillé ma vie. Je n’ai plus de vie. » Paul Gascoigne pleure 10 ans d’écoutes illégales de le part du Mirror, devant la Haute Cour de Londres. Récapitulatif.
Encensé pour sa force de frappe après le 7-0 infligé au Shakhtar, le Bayern n’en demeure pas moins la meilleure muraille d’Allemagne, si ce n’est d’Europe. Et ce n’est pas seulement grâce à Manuel Neuer.
Quasiment condamné sportivement, le Racing Club de Lens vit également avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête en raison des soucis financiers de son actionnaire Hafiz Mammadov. Du côté des supporters, l’espoir est mince, mais existe toujours.