Irrésistible face au Real Madrid, Iñaki Williams s’est transformé en symbole de l’Athletic Bilbao. Mais plus que son statut de premier joueur d’origine africaine à porter le jersey basque, il en est surtout l’une des plus belles promesses.
Bougé par des Clarets inspirés, Manchester City trébuche pour la seconde fois consécutive à l’extérieur (1-0). Trop peu motivés, les Citizens devront rapidement se reprendre, au risque de voir Arsenal leur passer devant au classement.
Le Borussia Dortmund voulait se rassurer avant son huitième de finale retour en Ligue des champions face à la Juventus. Perdu : Cologne a bien résisté, et a même fait douter les Schwarzgelben. Mais dans l’ensemble, cette rencontre ne restera pas dans les annales. Les médias écriront « Null-Null » quand les (télé)spectateurs retiendront un nul nul.
Sous l’impulsion d’un Messi décisif, parfois génial, les Blaugrana ont préparé leurs deux grands rendez-vous de la semaine prochaine par une victoire facile face à Eibar (0-2) et la consolidation de leur leadership. Mieux, l’Argentin prend les devants dans la course au Pichichi.
Ce samedi, la Juve pensait déjà à son déplacement en Allemagne, mercredi. En attendant, la Vieille Dame s’est quand même imposée sur la pelouse de Palerme, grâce à un superbe but de Morata (1-0).
94′ : Allez, c’est fini ! Burnley réalise en gros coup en s’offrant le scalp du dauphin. City aurait pu (du) bénéficier d’un pénalty dans le temps additionnel, mais n’a rien foutu du match. Bonne soirée les loulous.
Avec un Giroud et un Ramsey en forme, Arsenal s’est bien préparé pour son huitième de finale retour à Monaco. Mais attention : les Gunners se regardent encore un peu trop jouer.
Meilleur joueur d’Évian depuis plusieurs saisons, réponse danoise à Juninho Pernambucano, serpent de mer récurrent des mercatos d’été, Daniel Wass a tout du joueur bankable. Mais depuis début 2015, le Viking a pris un gros coup de froid, ce qui énerve passablement son entraîneur Pascal Dupraz.
93′ : Et c’est terminé sur une dernière chute de Gradel ! Sainté s’impose dans la douleur face à des Messins engagés mais bien trop fébriles derrière pour espérer mieux. Mais au moins, il y aura eu du spectacle ! On vous laisse ici les loulous et on vous embrasse presque partout.