Les articles de SOFOOT.com

Sorti en barrage de l’Euro par l’Irlande avec sa Bosnie, Miralem Pjanić profite tant bien que mal de ses vacances forcées. L’occasion de parler tactique, Juventus et évidemment, Francesco Totti.

22 patates, c’est la somme que pourrait empocher Laurent Blanc pour arrêter de poser ses fesses sur le banc du PSG…

Marre des passes dans les pieds, des frappes cadrées et des gens heureux ? Hâte que la L1 reprenne ? Plus qu’un gros mois à patienter. On sait, c’est long.

L’Euro en France, c’est aussi l’occasion d’analyser en profondeur les rapports entre notre cher pays et son équipe nationale. Et on le fait avec le sociologue Stéphane Beaud.

Ils s’appellent Ramazan Özcan, Ögmundur Kristinsson ou encore Benoît Costil, mais presque personne ne les connaît. Eux, ce sont les troisièmes gardiens.

À l’orée des 8es de finale, c’est déjà l’heure de s’offrir une petite séquence nostalgie sur ceux à qui on a dit au revoir.

Parmi ceux qui n’ont disputé aucune minute de jeu lors de la phase de poules, certains auraient sûrement apporté à leur équipe. Petite sélection.

Les joueurs théâtralisent souvent leurs déceptions. Et, pour cet Euro 2016, leur tête a souvent trouvé refuge dans leurs mains. Portfolio arrestation, les mains sur la tête.

Alors que les supporters venus en France sont globalement très satisfaits de l’accueil réservé, Nice fait tache, avec son stade perdu dans un no man’s land non desservi.

Les hooligans, désormais, existent d’abord sur les réseaux sociaux, où il se mettent en scène, sans besoin des médias. Avec un contre-feu à ce buzz voyeur : les supporters irlandais.

Ça y est, les Russes sont partis. L’occasion de faire le bilan avec un peu de recul sur les racines et les motivations du hooliganisme russe, avec Manuel Veth, spécialiste de la question.

Le street artiste Cart1 réalise pendant cet Euro des portraits des icônes du football, de Zidane à Ibra. Originaire de Lyon, il s’est réconcilié avec le foot après un séjour de 2 ans en Colombie.

Cela n’a échappé à personne. Au milieu des sponsors traditionnels de l’Euro, une inconnue : SOCAR, entreprise pétrolière azérie.

Aujourd’hui en charge des portiers de l’équipe de France A, Franck Raviot a accepté de sortir de l’ombre pour évoquer son parcours atypique et sa relation avec les gardiens tricolores.

Depuis le début de l’Euro, chaque jour s’est ouvert avec une nouvelle folie des Boys in Green irlandais. Florilège.

Grâce aux supporters irlandais, Carla Roméra, 19 ans, est devenue malgré elle une des stars de l’Euro. Interview.

Les ultras des différents clubs hongrois ont mis de côté leur rivalité historique pour assurer le soutien de leur équipe nationale le temps d’un Euro.

Infiltré, pendant ce premier tour, au sein du kop de l’équipe de France. Et c’est pas facile tous les jours.

Malgré un groupe largement à leur portée, David Alaba et ses copains sont complètement passés à côté de leur tournoi. Oui, mais pourquoi ?

On ne compte plus les glissades depuis le début de l’Euro, avec l’état des pelouses comme premier argument avancé. Des choix de l’UEFA aux choix des crampons, tentative d’éclairage.

Ça y est, la première phase d’écrémage est terminée. Huit équipes en moins, mais surtout, encore beaucoup de questions à l’issue des 48 premiers matchs de l’Euro 2016. Et les réponses sont ici.

C’est l’heure des premiers bilans. En voici un tout en frappes en lucarne, enroulés, reprises de volées et frappes de poney.

La dictature des 8, les dribbleurs et numéros 9 disparus et l’influence des automatismes du monde des clubs greffés sur certaines sélections : voilà les enseignements tactiques des poules de l’Euro.

Une pause méritée ou une bonne raison de s’angoisser. Pour toi, ces deux jours sans match vont être un calvaire. Toi, tu as fait TF1, beIN, M6 pendant 12 jours. Toi, tu as bien suivi ce début d’Euro.

Des tables en U, de la concentration et un premier semestre bouclé pour la classe européenne. Le temps est venu de balancer les points pour un ensemble sans réelle tête de classe, mais avec des anciens jeteurs de boulettes lavés.

Comme dans toute compétition, certains joueurs attendus ont déçu. Ce qui donne un onze hétéroclite avec un banc composé de stars.

Ils n’ont pas marqué de but ou n’ont pas réalisé un arrêt de dingue. Pourtant, ils sont, eux aussi, des stars de cet Euro 2016.

Beaucoup de soirées ennuyeuses, peu de buts, mais quand même quelques pépites. Eux, ils ont brillé pendant la phase de poules.

Trois, voire quatre matchs par jour, et puis plus rien. Et ce, pendant deux jours. Le manque est là. L’envie de s’en mettre plein les veines aussi.

Entretien avec la MZ, entre histoire de ballon rond, équipe de France et anecdotes de quartier.

Les gardiens sont les grands oubliés du premier tour de cet Euro, la pauvreté offensive des matchs n’étant pas forcément due à leurs prestations.