C1, 1ère journée (part.2) : Groupe E, like a virgin
Fin du premier round. Les gros limitent tous à peu près la casse. Au rayon des informations, on peut annoncer la mort imminente du Celtic Glasgow ainsi que celle de Luis Aragones.
Fin du premier round. Les gros limitent tous à peu près la casse. Au rayon des informations, on peut annoncer la mort imminente du Celtic Glasgow ainsi que celle de Luis Aragones.
Sale soirée pour les clubs français. Un an après la raclée prise au Vélodrome face aux Reds, Marseille s’est encore logiquement incliné face à Liverpool (1-2) tandis que Bordeaux a sombré chez Chelsea (0-4). Le constat est sans appel : l’élite de la Ligue 1 est à des années-lumière de la Premier League.
Sur ce match flotte un parfum de Ligue 1. Le Rc Lens et le FC Metz sont, traditionnellement, des clubs de première division. Aujourd’hui, s’ils se rencontrent avec pour enjeu la seconde place de Ligue 2, il y a plus de 10 ans, ils se disputaient le titre.
Des Français à la peine, des promus qui s’affirment, des cadors qui se cherchent, et des hommages posthumes…Bienvenue dans la deuxième journée de la Liga…
L’année dernière, Almeria était coachée par Unai Emery. Un expert dans l’art de motiver ses troupes. Promis à la descente avant même d’avoir commencé l’exercice précédent, l’entraîneur basque fit placarder son vestiaire d’un sondage dans lequel les chroniqueurs vedettes du quotidien Marca assuraient qu’Almeria finirait bon dernier du championnat.
Double champion d’Angleterre en titre, Manchester United, après un début de saison diesel, va peut-être donner le véritable coup d’envoi de son exercice 2008-2009 à Liverpool, sa catin attitrée depuis quelques saisons (samedi 13h45).
En 1978, à l’aube de l’ouverture de la coupe du monde, l’Argentine est gouvernée depuis deux ans par une junte militaire dirigée par Videla, Massera et Agosti. Jusqu’ici, rien de très original au “pays du coup d’État intermittent” (1). Sauf que là, ce n’est plus la petite dictature sympathique de début de siècle, pas non plus du caudillismo des campagnes. C’est “l’ultime dictature”, de l’organisé, du professionnel, avec extermination, contrôle de la population, messianisme et propagande…
France-Yougo. Stade de France. A 21 heures sur TF1. 45 000 spectateurs maxi et beaucoup de sifflets. La crise. Ca flingue à tous les étages : joueurs, sélectionneur, encadrement, FFF, médias, France 98…Rentrée des crasses ?
Alors qu’Henrik Larsson claque encore des papinades à 57 ans, une question nous tarabuste forcément : au fond, ça ressemble à quoi un match au pays de Christian Wilhelmson ?
Trop c’est trop. Quand un blaireau qui a passé sept ans de sa vie d’après-football à jouer au golf se retrouve à seconder le sélectionneur national, c’est la cata assurée. On l’a vu à Vienne, après la victoire en trompe l’oeil des Bleus en Suède : Boghossian est un incapable.
Nouveau maillot, nouveaux joueurs, nouveau groupe, nouveaux adversaires, nouvel entraîneur, (ah non merde), l’équipe de France fait sa rentrée et entame sa campagne de qualification samedi contre l’Autriche.
Pour comprendre pourquoi les Merengue ont perdu contre le Deportivo La Corogne (2-1) au Riazor lors de la première journée de la Liga, retour sur la dernière semaine de préparation onirique des artistes de la Maison Blanche.
Le 11 juin, midi, à l’Etoile, une boîte lounge à pouffes près des Champs-Elysées. Eric Cantona est venu présenter sa dernière création : une bouteille de Pastis 51 qu’il a customisé de ses mains. Un reportage qui rappelle l’été, le vrai.
Dans la même veine que les mondiaux antiracistes, les Mondiaux Migrantes se sont tenus pour la deuxième année consécutive à Turin, à l’initiative de la ville et de son projet « Turin au pluriel ». Quand le football sert de prétexte à l’échange et à la rencontre. Reportage sur place, entre les terrains vagues de la banlieue industrielle turinoise, les concerts de musique brésilienne et les nombreux débats.
Bernard Mendy n’a jamais été l’idole du Parc, ni son chouchou d’ailleurs. D’aucuns affirmeront que c’était un joueur solide, pas aussi fulgurant qu’il n’y paraît, les autres avanceront qu’il était nul, tout simplement. Toujours est-il que « Nanard », l’un des artisans du maintien parisien, catapulte aujourd’hui ses centres au troisième poteau du KC Stadium de Hull City. Décryptage.
Lauréats, pour la deuxième année consécutive, du championnat de France des tribunes, les supporters stéphanois ont reversé leurs gains à des associations locales avant ASSE-Sochaux. So Foot y était.
Mehmet Bazdarevic, l’entraîneur de Grenoble, est content: son équipe de peintres à qui on promettait l’enfer est leader au bout de deux journées. Interview bilan avant que ça se gâte….
Cela fait huit ans que toute une ville attendait ça. Huit longues années à devoir se coltiner des déplacements dans de sombres provinces italiennes contre des équipes de Serie C2, à jouer la montée, à revenir de l’enfer. Le 12 août dernier, la Fiorentina faisait son grand retour sur le devant de la scène européenne. Voici le récit d’une ville qui fonce tout droit en Champions League, tendrement enlancée à son équipe de football.
Le tournoi olympique de Pékin va bientôt livrer son verdict. Argentine-Brésil, Nigeria-Belgique, tel sera l’alléchant programme des demi-finales. Les Jeux sont donc quasiment faits, rien ne va plus…A vos marques !!!
Matthieu Chalmé a deux tatouages sur ses avant-bras, les prénoms de ses gamins : Matthéo et Maxine. Sur son répondeur, c’est Matthéo qui fait les présentations avec son père, c’est mignon. Dans la vie, le latéral droit bordelais téléphone au volant. Sur le terrain, il a parfois envie de se battre. Interview d’un bad boy aux cheveux et aux tacles de feu.
Avec le maillot violet sur l’Ebondo, Albin a tout connu en 6 ans, du National à la Ligue des Champions, et une place en L1 sauvée lors de l’ultime journée la saison dernière.
Pas de Wimbée en 3D. Entretien téléphonique avec un joueur habitué au ventre mou et à la deuxième division. Il est loin le temps où un Grégory Wimbée lillois côtoyait les podiums et frissonnait en écoutant l’hymne de la Ligue des Champions. Après une expérience mitigée à Metz, il s’est relancé à Grenoble. Une troisième saison dans l’Isère synonyme de retrouvailles avec la Ligue 1. Grenoble attendait ça depuis quarante cinq ans…
La première journée de championnat a d’ores et déjà annoncé la couleur. Marseille fout le bordel, plein de buts et en encaisse tout autant, Paris est lent, emprunté et défait, Bordeaux joue bien mais ne fait pas si facilement la différence et Lyon déroule ma poule.
Trois semaines en Corse, une en Tunisie. A 22 ans, Yohan Cabaye a passé les vacances d’un mec de 22 ans. Crête sur la tête, tête sur les épaules, il a décidé de prolonger le vice lillois une année de plus. Sur le terrain, Cabaye, c’est un mec qui aime mettre proprement les mains dans le cambouis. A part ça, l’international espoirs sait se fixer des priorités : Salade, lasagnes, interview.
En France, il y a le Trophée des Champions. Souvent un match chiant comme les embouteillages aoûtiens. En Angleterre, il y a le Community Shield. C’est le même principe, le champion contre le vainqueur de la Cup, mais en infiniment plus classe.
Aujourd’hui a lieu le Community Shield en Angleterre. Depuis 12 ans, c’est une affaire qui concernent exclusivement des clubs du Big 4. Cette année, Portsmouth s’invite au Bal. Plus de pièce montée, retour en force des fish and chips. Entretien avec un défenseur qui se prend en main, Sylvain Distin.
A l’heure du goûter, un mercredi de pré-saison, David Hellebuyck a une voix un brin endormie. Pas très bavard, il est sur son lit. Il regarde la télé, tranquillement. A côté de Lionel Letizi. Oui, bon. Histoire de savoir comment l’OGC Nice aborde le cinquantième anniversaire du dernier titre du club, petite interview Hellebuyck-à-brac.