Guglielmo Stendardo vient de vivre une drôle de semaine. Le défenseur de l’Atalanta n’a pas participé au match de Coupe contre la Roma. Suspendu ? Blessé ? Non non. Monsieur passait ses examens finaux pour devenir avocat. Excusez-le.
Après quelques années de purgatoire footballistique, Obafemi Martins est de retour sur les prés. Dans la banlieue de Valence, il fait les beaux jours du poil à gratter Levante. Un retour au soleil pour le Nigérian à la carrière si atypique.
Lorient, Nancy et Châteauroux sont les seuls clubs professionnels français à avoir franchi le cap du terrain synthétique en compétition. Face aux nombreux avantages que présentent cette surface, pourquoi une telle levée de boucliers dans les autres clubs ? Éléments de réponse.
Grâce à un but de l’inévitable Miroslav Klose, inscrit à dix minutes du terme de la partie, la Lazio est venue à bout de l’Inter sur la plus petite des marges (1-0). Les Romains reviennent dans la course, et font surtout une superbe passe décisive à la Juve.
C’était un bien joli samedi soir, sur les pelouses de Ligue 1. La preuve en chiffre : 19 buts (et des beaux) en cinq matchs. Au final, Montpellier et Nice confirment leur bonne forme, respectivement face à Bastia (4-0) et Évian (3-2).
Réduits à neuf à la pause après l’exclusion de son aile gauche, le Téfécé a bien tenté de résister à l’OM. Mais André-Pierre Gignac est arrivé et a signé son retour d’une jolie lulu, copie conforme de celle signée par Payet mardi soir… contre Toulouse.
United ne s’arrête plus, QPR goûte enfin à la victoire
United ne s’arrête plus, QPR goûte enfin à la victoire
Intraitable à domicile, United reprend six points d’avance sur City et conforte tranquillement sa place de leader. Mais la sensation de cette journée, c’est assurément la première victoire de QPR, comme un petit cadeau de Noël avant l’heure.
Grâce à un Stefan Kießling de gala, le Bayer Leverkusen s’impose sans faire de détails face à Hambourg, et est assuré de finir deuxième de la phase aller. Le Bayern est toujours largement devant, même s’il a peiné face à Gladbach.
L’OM en visite à Toulouse, c’est l’assurance de voir pour une fois le Stadium faire le plein. Relancés au classement après leur victoire à Bastia, les Marseillais veulent confirmer contre un adversaire en crise.
« Very big match » dans les cimes de Ligue 2, ce Nantes – Caen a été une bien belle vitrine pour deux équipes appelées à retrouver l’élite. Nantes en a surtout profité pour asseoir sa domination.
Largement dominateurs en première mi-temps, les Citizens ont ensuite longtemps souffert. Avec cette victoire à Newcastle (1-3) lors de la 17e journée de Premier League, Manchester City met la pression sur United.
Malgré son contrat valable jusqu’en 2020, Alan Pardew commence à avoir chaud aux fesses. Bonne surprise de la saison dernière, Newcastle pointe à la 14e place. La réception de Manchester City pourrait être l’occasion de se relancer.
Brahimi : «En Espagne, on entre sur le terrain pour gagner»
Brahimi : «En Espagne, on entre sur le terrain pour gagner»
Cet été, Yacine Brahimi a quitté le Stade rennais pour Grenade. Malgré la 18e place des Andalous en Liga, l’international espoir français semble paradoxalement avoir retrouvé du poil de la bête à l’ombre de l’Alhambra. Interview.
En 2009, José Mourinho avait dit de Cambiasso : « C’est le joueur le plus rapide que j’ai entraîné. Et quand je dis rapide, je parle de là où ça sert le plus… » C’est-à-dire dans la tête. Un footballeur intelligent, promis à un avenir d’entraîneur brillant, et encore indispensable dans l’Inter de Stramaccioni.
Ce soir, au Stadio Olimpico, la Lazio, quatrième, reçoit l’Inter, deuxième. Un match entre deux équipes dont les supporters sont jumelés, mais qui, pour le coup, n’a rien d’une rencontre où l’on va se faire des faveurs et des fleurs.
Anciennement adulé à Bilbao, Fernando Llorente est aujourd’hui devenu le pestiféré de l’effectif. Une situation ubuesque qui doit autant au jusqu’au-boutisme de Bielsa qu’à la tête dure du joueur.
Cette année, peut-être encore plus que les saisons précédentes, la Ligue 1 est « spéciale ». Entre un PSG qui enchaîne les 4-0, mais qui se fait battre par Rennes et Nice, un classement ultra-serré et un OM que l’on dit nul, mais qui est deuxième, tout a l’air possible. Visiblement, en Ligue 1…
Dans le duel annoncé entre le Bayern et le Borussia, un club s’est tapé l’incruste : le Bayer Leverkusen. Et il le doit en grande partie à son buteur, Stefan Kießling, plus revanchard que jamais.
Huit matchs, huit défaites. Les chiffres parlent d’eux-mêmes, Toulouse a comme un problème quand il est diffusé par la chaîne cryptée. Analyse d’un mal étrange avant la réception samedi de l’OM sur… Canal.
Aux commandes de la Real Sociedad depuis maintenant deux ans, Philippe Montanier devient petit à petit le nouveau Raynald Denoueix ibère. Dans une Liga qu’il connaît et apprécie, il livre ses impressions à presque mi-chemin de la saison.
Deuxième défaite consécutive pour Valenciennes (0-2), qui semble un peu à la peine en cette fin d’année 2012. De son côté, Rennes n’a pas toujours été très rassurant ni brillant, mais a su exploiter à fond la bonne forme de son duo Féret/Pitroipa.
Dans une journée où les pions sur coups de pied arrêtés ont défilé, Monaco cale devant Nîmes à domicile (1-1) et met un peu plus à cran Claudio Ranieri. Angers réalise l’improbable devant Auxerre (2-1) et Le Havre rebascule en première partie de tableau.
5 choses que les Qataris pourraient aussi changer à Paris…
5 choses que les Qataris pourraient aussi changer à Paris…
Le PSG pourrait changer de logo. Pourquoi pas ? De nombreux clubs l’ont fait et le feront encore. Après s’être attaqué à la fleur de lys et au berceau de Louis XIV, les Qataris pourraient bien s’attaquer à d’autres symboles de la capitale.
Cette semaine, Zlatan a marqué un but contre Évian, puis trois contre Valenciennes, et a assisté impuissant au record de buts de Lionel Messi. Si le Suédois prenait la plume pour raconter ses impressions, voilà ce que cela donnerait. Ou pas.
Ils sont beaux (souvent), moches (parfois), émouvants (toujours), importants (quand même), futiles (donc utiles), impossibles (et pourtant), voire contre leur camp (Escobar RIP), et vont se découvrir au fur et à mesure de ce dernier mois de l’année. Ou s’il ne devait rester que 100 buts, pour autant d’histoires qui racontent la même chose : le football.
Un doublé, trois points importants et surtout, un sourire. Le sourire de celui qui prend son pied sur un terrain de foot à bientôt 37 ans. Joueur de cette 17e journée, Cédric Barbosa profite du terrain à 100% et croque dans le ballon à pleines dents.
L’ex de Zenden, aujourd’hui épouse de Jean-Philippe Sabo, n’a rien perdu de sa superbe. Grâce à elle, la Ligue 1 n’a plus trop à rougir face à la Premier League et la Serie A. Surtout depuis qu’elle parle L1 régulièrement dans le Talk Show du Phocéen. Ses pronos.
Tu sais qu’il n’y aura pas de second club parisien quand…
Tu sais qu’il n’y aura pas de second club parisien quand…
Le PSG qatari a beau susciter l’amertume des anciens supporters virés des tribunes, il n’en demeure pas moins et pour toujours le seul club parisien parmi l’élite, laissant loin derrière lui le souvenir du Racing Matra ou du Stade Français.
La réussite cette saison de l’ancien Clermontois Romain Alessandrini en L1 en est la preuve : il existe à l’étage en dessous de très bons petits jeunes. On en a retenus dix des plus prometteurs de ce début de saison.
Depuis quelques semaines, le Milan AC va mieux. Le club rossonero enchaîne les victoires et remonte au classement. Désormais septièmes, les Milanais entrevoient la zone Europe. Mais peuvent-ils vraiment y prétendre ?
4-0, c’est devenu le tarif maison du PSG qui vient d’enregistrer sa quatrième victoire de la saison en championnat sur ce score. Pendant ce temps-là, Marseille et Montpellier se redressent et l’OL a très mal négocié la réception de l’ogre nancéien.