Ils sont beaux (souvent), moches (parfois), émouvants (toujours), importants (quand même), futiles (donc utiles), impossibles (et pourtant), voire contre leur camp (Escobar RIP), et vont se découvrir au fur et à mesure de ce dernier mois de l’année. Ou s’il ne devait rester que 100 buts, pour autant d’histoires qui racontent la même chose : le football.
Aujourd’hui, le foot est devenu un sujet people comme les autres. Mais un sujet plutôt vendeur. Tout en s’en défendant, les stars du ballon rond savent que Voici contribue autant à leur médiatisation que L’Équipe. Analyse.
Jo Bonavita : « Quand le médecin me dira d'arrêter, je le ferai »
Jo Bonavita: «Quand le docteur me dira d’arrêter, je le ferai»
Ancien joueur, puis intendant historique de l’équipe, Jo Bonavita est l’âme du Sporting Club de Bastia. Comme un symbole, à 73 ans, c’est lui qui entame une gréve de la faim pour protester contre la décision de la Ligue de faire jouer Bastia-Nancy à Gueugnon.
Vélez qui se balade, Scocco qui régale et Trezeguet qui déçoit, les « Cinq Grands » en difficulté et les jeunes qui en profitent pour se montrer, voilà ce qu’a proposé le tournoi Inicial argentin.
Des attaquants qui marquent peu de buts, ou au moins avec trop peu de régularité, un Bendtner blessé trois mois et une doublette championnat-Ligue des champions à gérer : oui, la Juve a besoin d’un attaquant au mercato. Oui, mais qui ?
Ils sont beaux (souvent), moches (parfois), émouvants (toujours), importants (quand même), futiles (donc utiles), impossibles (et pourtant), voire contre leur camp (Escobar RIP), et vont se découvrir au fur et à mesure de ce dernier mois de l’année. Ou s’il ne devait rester que 100 buts, pour autant d’histoires qui racontent la même chose : le football.
Nouveau festival de buts entre Reading et Arsenal. Mais cette fois-ci, pas de scénario improbable, après le 5-7, le 5-2. Les Gunners sont tranquillement venus à bout des Royals grâce à un triplé de Santi Cazorla.
Lens a dominé à peu près toute la rencontre, mais n’a pas su en profiter, puisque les Nordistes partagent les points avec Guingamp (1-1). Un résultat plutôt cool pour les équipes de tête, that’s all folks.
Ce week-end, Porto n’a pas joué. Pendant ce temps, Benfica a écrasé Maritimo, Braga a battu Estoril et le Sporting s’est cassé les dents à Madère. Les Aigles de Lisbonne sont champions d’automne et Óscar Cardozo a pris le large au classement des buteurs.
Cette semaine sur Twitter, on a pourri son chauffeur, donné dans le scato, insulté les hommes et couché avec des animaux. On a aussi pas mal simulé, mais ça n’a rien à voir.
Il n’y a pas que dans la série de Canal +, dont les deux derniers épisodes de la saison 1 sont diffusés ce soir, que les disparus reviennent. Parfois, dans le football, un joueur brille, disparaît, puis revient de nulle part. Véridique.
Auteur d’un doublé face à Evian TG samedi, Dario Cvitanich a une nouvelle fois montré qu’il était peut-être le gros coup de l’été. Recruté par Nice pour 450 000 euros, le deuxième meilleur buteur de Ligue 1 n’est pas étranger à la cinquième place du Gym.
Demont : «Pour s’entraîner, on a monté les terrils»
Demont : «Pour s’entraîner, on a monté les terrils»
Nordiste pur souche, Lensois depuis 2005, c’est peu dire que Yohan Demont est l’âme des Sang et Or. Entre la superbe série actuelle, coach Sikora, le malaise Garcia ou le manque de réalisme de son équipe, le défenseur de 34 ans n’élude rien.
Vainqueur de l’OL (1-0), le PSG vire en tête avant le dernier match de la phase aller, à égalité de points avec Lyon et Marseille. L’Hexagoal se jouera entre ces trois-là parce que derrière, le trou est fait.
La fin du monde approche. Du coup, la Juve a voulu faire au plus vite pour être sacrée championne d’hiver, United a tenu à conserver son avance sur City, Dortmund a repris deux points au Bayern Munich, le PSG a joint Lyon et l’OM, et le Barça a remporté la Liga avec 22 journées d’avance.
Ce soir, on connaîtra le pourquoi du comment du retour des Revenants sur Canal Plus. Un beau final en perspective et l’occasion d’entendre encore une paire de fois le générique signé par les Écossais de Mogwai, fans inconsidérés du Celtic…
Les deux Thiago au savoir-faire, Matuidi au four et au moulin et Zlatan au contact. Biševac, Lovren et Umtiti sonnés, Malbranque, Bastos et Réveillère submergés.
Ils sont beaux (souvent), moches (parfois), émouvants (toujours), importants (quand même), futiles (donc utiles), impossibles (et pourtant), voire contre leur camp (Escobar RIP), et vont se découvrir au fur et à mesure de ce dernier mois de l’année. Ou s’il ne devait rester que 100 buts, pour autant d’histoires qui racontent la même chose : le football.
Vainqueur 4 à 1 de son dauphin, le Barça continue son parcours de santé en Liga. Messi a encore inscrit un doublé et a éclipsé Falcao, beaucoup trop seul face à la puissance collective des Catalans.
Sérieux sans être brillants, les joueurs du Paris Saint-Germain dominent une faible formation lyonnaise 1 à 0. Le PSG dépasse son adversaire du soir à la différence de buts et reprend les rênes de la Ligue 1.
Après une défaite face à Vigo cette semaine, le Real Madrid a offert une pauvre partition face à l’Espanyol. Rejoint dans les derniers instants par un Espanyol de Barcelone sérieux (2-2), les Merengues ont dit au revoir à une deuxième Liga.
En Espagne aussi, ce soir c’est choc entre le leader et son dauphin. Sauf que là-bas, le FC Barcelone peut, en cas de victoire face à l’Atlético, tuer tout suspense pour la suite du championnat. En mettant toute concurrence à minimum neuf points.
Au terme d’un match globalement maîtrisé, le PSG l’emporte sur la plus petite des marges face à Lyon (1-0). Les hommes d’Ancelotti récupèrent du même coup la tête du championnat.
Depuis deux semaines, Paris va mieux. Beaucoup mieux même. Une victoire face à Porto, deux démonstrations en Ligue 1 et un collectif qui semble enfin se mettre en place. Un renouveau tactique ou un simple changement d’attitude ?
Pour un match qui devait rimer avec victoire et buts au Chaudron, Saint-Étienne a déjoué et perdu face à Lorient (0-2). Les Merlus, impeccables dans la maîtrise et la gestion de la rencontre, récoltent ainsi un quatrième succès consécutif en Ligue 1.
Net vainqueur de l’Atalanta (3-0), la Juventus prend une sérieuse avance en tête de la Serie A. Les Bianconeri comptent 7 points d’avance sur l’Inter (battue hier par la Lazio) et 8 sur le Napoli, qui reçoit Bologne ce soir. Derrière, la Fiorentina et le Milan AC assurent face à des relégables, et la Roma chute chez le Chievo.
Paris et Lyon ont toujours entretenu de bons rapports. Dans les effectifs actuels, ils sont d’ailleurs trois à avoir porté les deux maillots (Milan Biševac, Peguy Luyindula et Mathieu Bodmer). Depuis quarante ans, ils sont beaucoup plus.
Nancéiens et Bordelais se sont quittés sur un résultat nul (1-1) ce dimanche après-midi, au terme d’une rencontre médiocre dans son contenu. Un partage des points, bien sûr, qui n’arrange personne.
Après chaque match, c’est la même rengaine : joueurs comme supporters se jettent sur les notes données par les observateurs. Un exercice qui peut s’avérer intelligent, drôle et stimulant. Sauf en France, où L’Équipe fait, souvent, la pluie et, parfois, le beau temps.
Seul aux manettes de la Liga, le Barça peut dès ce dimanche tuer tout suspense en battant l’Atlético. De son côté, le Real s’avance sans aucune certitude face à l’Espanyol. Ou comment définitivement tirer un trait sur l’intérêt de ce championnat.
Meilleur buteur d’un Galatasaray en pleine bourre, Burak Yılmaz a qualifié à lui seul les Sang et Or pour les huitièmes de Ligue des champions, en inscrivant six des sept buts du club. Avant le derby face au Fenerbahçe, portrait d’un buteur. Un vrai.