Réduit à dix et mené au score dès la demi-heure du jeu, le PSG s’est tout de même imposé au Vélodrome (2-1), face à un bien triste OM. L’écart est trop grand pour les Marseillais.
Lanzini, un sourire dans le triste football argentin
Lanzini, un sourire dans le triste football argentin
Après avoir refusé Boca à l’âge de 9 ans et les millions de dollars des Émirats arabes unis cet été pour le club de son cœur, Manuel Lanzini, le prometteur numéro 10 de River, tâchera d’offrir le Superclásico du week-end à des fans qui n’en peuvent plus du sale état dans lequel se trouve leur football.
Hello les ploucs, on le sait tous que c’est naze le dimanche soir. Heureusement qu’il vous reste le live pour suivre cet OM-PSG. Le « classico » à la française, comme on dit. Le premier sous le toit du Vélodrome. DB garantis !
Après avoir été menés, les Girondins ont atomisé une formation sochalienne (4-1) qui a fait illusion durant une mi-temps. Du mieux pour les Aquitains, du pire pour les Francs-Comtois. Mais un bon aprem de foot, ce qui est rare à Chaban-Delmas.
Bravo à toi Paris, pour tes trois points au Vélodrome
Bravo à toi Paris, pour tes trois points au Vélodrome
Après une semaine passée dans le futur, nous revoilà dans le présent. Ce soir, Marseille reçoit le Paris Saint-Germain au Vélodrome pour y disputer un match que les Parisiens ont déjà gagné. Solide.
Salut les fous ! On se retrouve pour West Bromwich-Arsenal. Deuxièmes au coup d’envoi après la victoire de Liverpool hier, les Gunners peuvent reprendre leur bien sans avoir à le partager en cas de succès chez les Baggies.
Naples répond à la Roma, le Hellas Vérone est cinquième
Naples répond à la Roma, le Hellas Vérone est cinquième
En attendant les deux chocs du soir, Juventus-Milan et Lazio-Fiorentina, le Napoli s’est imposé 4-0 face à Livourne, et reste ainsi à deux points de l’intraitable leader romain. Le Hellas Vérone, victorieux 4-1 à Bologne, est cinquième de Serie A. Rocambolesque nul 2-2 entre la Sampdoria et le Torino.
En attendant Nuremberg – Hambourg et Fribourg – Francfort, on a vu Dortmund perdre contre Gladbach, Schalke gagner et le Bayern faire match nul. Pas comme d’hab. Comme quoi, tout arrive.
Après un bon début de saison, Lyon affichait de bien belles promesse. Mais Lyon ne s’est pas qualifié pour la C1, et depuis l’équipe a mal, galère, patauge. Et cet aprem, Montpellier comptait bien en profiter. C’est chose faite et dans les largueurs. Montpellier enfonce encore un peu plus Lyon. Victoire 5 à 1.
Ce soir, au Stadio olimpico, à la même heure que Juventus-Milan, la Lazio, sixième du classement, reçoit la Fiorentina, cinquième. Une rencontre entre deux équipes qui, finalement, se ressemblent plus que ce que l’on pourrait y croire.
S’il a perdu de sa saveur par rapport aux années 1990, le grand match entre l’Olympique de Marseille et le Paris Saint-Germain peut compter sur quelques héritiers d’Éric Di Meco et de Bernard Casoni pour rester intense. Toujours motivé, toujours impliqué, le Ghanéen André Ayew incarne la grinta qui peut permettre aux Phocéens de mettre à mal des Parisiens intrinsèquement supérieurs ce dimanche au Vélodrome.
Lulu : «À Marseille, ils ont le maillot comme habit du dimanche»
Lulu : «À Marseille, ils ont le maillot comme habit du dimanche»
Pour le commun des mortels, impossible d’imaginer Lulu sans Charly. Lulu, lui, n’imagine pas sa vie sans football. Fan inconditionnel de l’Olympique de Marseille, l’animateur porte dans son cœur le football des années 70 et Éric Cantona. Mais pas forcément les joueurs de maintenant. Interview Variétés Club de France.
Ronaldinho, Pauleta, Didier Drogba, Hatem Ben Arfa, Gabriel Heinze, André Ayew, Luis Fernandez, Basile Boli, Éric Di Meco, Alen Bokšić, Fabrizio Ravanelli. Ils ont tous marqué, un jour ou l’autre, un choc entre l’Olympique de Marseille et le Paris Saint-Germain. Pourtant, il en existe d’autres. Des hommes de l’ombre. Et même des femmes.
Pour sa première sur le banc sochalien contre Valenciennes (2-0), Omar Daf a donné raison à Éric Hély. Le tout par des méthodes simples de vieux sage et quelques ajustements. Payants cet après-midi à Bordeaux ?
Pendant des années, le PSG et l’OM se sont détestés. Mais cette réalité ne devait pas en cacher une autre : les deux clubs se détestaient parce qu’ils partageaient beaucoup de choses. Maintenant que le PSG a été remplacé par un nouveau club, cette réalité perd un peu en intensité…
Incroyable succès de la Roma de Rudi Garcia. Les Giallorossi se sont imposés 3-0 sur la pelouse de l’Inter, grâce à un doublé de Totti et un but de Florenzi. Match maîtrisé par les Romains (un poteau pour l’Inter), qui restent donc en tête de la Serie A. Sept victoires en sept matchs : impressionnant.
Lille a confirmé ses bonnes dispositions actuelles en l’emportant très largement (3-0) face à Ajaccio. Dans le derby breton, Guingamp a logiquement disposé du Stade rennais (2-0), tandis qu’en bas du classement, Valenciennes a enfin interrompu sa triste série de défaites en arrachant le nul contre Reims (1-1).
Le Barça continue à apprendre à vivre sans Lionel Messi, toujours blessé. Et pour l’instant, les Catalans assurent les affaires courantes. Valladolid apparaît comme une victime toute désignée pour un septième victoire du Barça en sept matchs.
Grâce à une chance énorme et un Bernd Leno extraordinaire, le Bayer Leverkusen empêche le Bayern Munich de repartir avec les trois points. Franck Ribéry et ses potes peuvent s’en mordre les doigts, tant il y avait la place. Même si en fin de match, le Bayer aurait pu commettre le hold-up du siècle.
Mais où va s’arrêter la Roma de Rudi Garcia ? Six victoires en six matchs, le Français et ses joueurs visent la passe de sept. Mais l’affaire s’annonce corsée à San Siro face à l’Inter de Mazzarri.
Face à un Saint-Étienne aux deux visages, l’AS Monaco s’est imposée en fin de match grâce à un but d’Ocampos. James Rodríguez a justifié ses 40 millions, tandis que les Verts peuvent regretter leur entame insipide.
Après deux saisons entre adaptation et déception, Alexis Sánchez est enfin décisif. De par ses statistiques et son apport sur le terrain, le Chilien semble épanoui. La confiance de Tata Martino, l’arrivée de Neymar et son caractère y sont pour beaucoup.
Accroché à Reims, Monaco reçoit des Stéphanois à l’arrêt depuis quelques semaines. À part un nul concédé face à Toulouse, les Monégasques ont fait le plein de points à Louis-II. Les Verts sont prévenus.
Tandis que Valenciennes entre aujourd’hui en piste pour une possible huitième défaite consécutive, tour d’horizon navrant des plus grandes séries de défaites de l’histoire du ballon rond. De quoi constater que nos amis nordistes peuvent encore mettre les bouchées doubles avant d’espérer entrer dans l’histoire. Par la petite porte, certes, mais dans l’histoire quand même.
Cette semaine, Manchester City a pris une gifle, une grosse gifle face au Bayern en Ligue des champions. Les Citizens ont bien l’intention de faire oublier cette lourde défaite. Mais attention à Everton, l’éternel empêcheur de tourner en rond de la Premier League.
1m70 au garrot, une tête à vendre des écrans plats chez Ubaldi, mais de l’or dans les pieds, João Moutinho est la star de l’AS Monaco. On a beaucoup parlé de Falcao ou de James, mais le dépositaire du jeu monégasque, c’est son maestro du milieu.
Sept défaites d’affilée et une étrange impression d’apathie. Confrontés au plus mauvais début de saison de leur histoire, les Valenciennois seraient-ils résignés ? Pas vraiment, même si le chemin est long vers la rédemption.
Ce soir, Walter Mazzarri, sur le banc de l’Inter, va défier l’invincible Roma de Rudi Garcia. Un match au sommet, entre deux formations qui n’ont jamais perdu. Or, il y a tout juste sept ans, Mazzarri avait déjà affronté et battu une Roma qui semblait invulnérable. Il était alors sur le banc de la Reggina.
La Ligue 2 est un beau bordel, quelque chose comme l’enfer des pronostiqueurs. Huit rencontres ont débuté, et sept seulement se sont achevées ; 18 buts marqués, dont 11 sur les seules pelouses troyenne et niortaise. En fin de soirée, huit équipes se pressent aux premières places, avec deux petits points d’écart. La Ligue 2 est un immense bordel.
Bastia a fait le spectacle ce soir à Furiani. Grâce à leurs recrues vedettes Boudebouz, Krasić et Romaric, mais surtout à un Khazri des grands soirs, les Corses se sont baladés face à des Lorientais décidément très médiocres à l’extérieur (4-1).