Rien ne se crée. Tout se transforme. Le credo est plus que jamais vrai pour l’Allemagne et le Portugal. Entre leur rencontre du 10 juin 2012 à l’Euro et ce match de Coupe du monde 2014, les deux sélections n’ont pas véritablement de nouveautés à apporter, seulement des ajustements. Alors deux ans après, pour ouvrir leur compétition, faut-il s’attendre à un remake ou à une revanche des Portugais ?
Il y a déjà 4 ans de ça, tu as failli être le premier pays africain à disputer une demi-finale de Coupe du monde. Ça s’est joué à peu : un Suárez, une main, une transversale, des tirs au but. Ensuite, bah des larmes, forcément. Cette année, tu espères que ce sera différent. D’ailleurs, tu sens qu’il y a quelque chose à faire. Ah oui, au fait, ton pays à toi, c’est le Ghana.
Virginie Ramé : «Ce n’est pas un rapport sexuel qui va tout gâcher»
Virginie Ramé : «Ce n’est pas un rapport sexuel qui va tout gâcher»
Virginie Ramé a suivi Ulrich en Belgique lors de l’Euro 2000, et surtout en Corée du Sud lors de Coupe du monde 2002. Une dernière expérience à douze heures de vol de la France, qui lui permet de deviner ce qui attend les compagnes des Bleus au Brésil : beaucoup de visites, peu de temps avec leur chéri, et pas mal de batailles d’ego.
Depuis l’Euro 2000, le Portugal a connu deux demi-finales et une finale de championnat d’Europe des nations, ainsi qu’une quatrième place en Coupe du monde. Pourtant, à l’heure de croiser le fer avec l’Allemagne, les potes de Cristiano Ronaldo sont bien les seuls à croire en leur succès. Pourquoi ?
Le Nigeria, c’est des attaquants ultra-rapides, un maillot vert bien stylé et un titre de champion olympique en 1996. Bref, la quintessence du football africain. Mais pas que…
Un éclair de Messi, un seul, suffit au bonheur argentin
Un éclair de Messi, un seul, suffit au bonheur argentin
L’Argentine s’est fait peur, l’Argentine a douté, mais l’Argentine a Lionel Messi. Même fantomatique pendant 60 minutes, le Barcelonais est sorti de sa cachette au meilleur des moments pour définitivement assurer une victoire plus que poussive aux siens (2-1). La Bosnie se consolera en se disant qu’elle a plus appris en 90 minutes qu’en 100 matchs.
En direct : Argentine – Bosnie-Herzégovine (2 – 1)
93′ : Bon les loulous, l’Argentine s’impose finalement 2-1. Mais c’était pas foufou, et il a fallu en passer par un csc et un exploit de Messi. Collectivement, c’est pas transcendant, et défensivement, c’est quand même mou. A voir s’ils peuvent monter en régime. La Bosnie n’a pas démérité, et devrait aller chercher la deuxième place du groupe. On se retrouve demain pour Allemagne – Portugal, le choc.
Dans la ville du forum social et de Lula, Karim Benzema n’a pas été dans le partage. Deux buts, presque trois pour lui. Le patron des Bleus habite au dix.
Dans la continuité de ce qu’elle a montré en préparation, la France a dominé sans soucis une équipe du Honduras plutôt inoffensive (3-0), grâce à deux buts et demi de Benzema. Une entrée en douceur parfaitement gérée.
93′ : Bon bah décidément, la préparation se passe bien pour les Bleus, avec une nouvelle victoire en amical. En même temps, avec cette décision de la FIFA de commencer directement en huitièmes, pas le choix.
Dans ce premier match du groupe E, la Suisse a obtenu une victoire dans le money time contre de valeureux Équatoriens (2-1). Une victoire grâce à Seferović et Mehmedi, mais surtout l’œuvre d’Ottmar Hitzfeld.
Injecté à la pause, l’attaquant Mehmedi a égalisé avant de faire ce qu’il voulait sur le côté gauche. Le voilà sans doute assuré de débuter contre la France lors du prochain match. Un joli coup.
En attendant Zico – Épisode 1 : Brésil/Croatie, la cérémonie d’ouverture
En attendant Zico – Épisode 1 : Brésil/Croatie, la cérémonie d’ouverture
Où l’on apprendra que JB n’est peut-être pas qu’un simple Portugais… Que la jeunesse de sa mère révèle bien des mystères… Et qu’une loge de gardienne peut être le point de départ d’une nouvelle vie… (Avec Baptiste Lecaplain)
Olivier Rouyer : «Contre l’Argentine, l’arbitre nous a enfilés»
Olivier Rouyer : «Contre l’Argentine, l’arbitre nous a enfilés»
Plus que quelques heures avant le premier match des Bleus. Enfin. À cette occasion, So Foot est parti à la rencontre d’anciens joueurs qui ont disputé cette compétition, pour qu’ils nous parlent de leur Coupe du monde à eux. Aujourd’hui, c’est Olivier Rouyer qui nous raconte sa Coupe du monde 1978.
Didier Deschamps annonce le forfait de Franck Ribéry, et une partie de la France ne cache pas sa joie. D’après celle-là, les Bleus seront plus forts sans leur meilleure individualité. Concrètement, dans tous les secteurs du jeu, que change l’absence de Franck Ribéry et comment Didier Deschamps peut-il réussir à la compenser ?
C’était à Kinshasa, il y a tout juste quarante ans, mais c’était hier à Manaus. À la fin d’une journée remplie de matchs qu’on aura bientôt oubliés, il y eut un combat mythique au milieu de la jungle. Et Don King, c’était Sepp Blatter.
Par souci d’économies, mais surtout par goût de l’aventure, des milliers de supporters argentins ont fait le voyage jusqu’au Brésil en mobilehome. Terminus Copacabana. Rencontre avec les parasites attachants de la baie de Rio.
Favorite ? Surcotée ? Déséquilibrée ? L’Argentine est probablement la grande nation de football la plus imprévisible de ce Mondial brésilien. Après deux matchs amicaux peinards à Buenos Aires et La Plata, la voilà installée à Belo Horizonte. Bilan sur la ligne de départ.
Dimanche 15 juin, au Maracanã de Rio, la Bosnie-Herzégovine va disputer son premier match de Coupe du monde contre l’Argentine de Léo Messi. Un moment historique qui trouve son origine un certain 30 novembre 1995, au sortir de la guerre de Yougoslavie…
On a vu Japon-Côte d’Ivoire dans le quartier japonais de São Paulo
On a vu Japon-Côte d’Ivoire dans le quartier japonais de São Paulo
São Paulo abrite la plus grande communauté japonaise au monde (hors du pays du territoire nippon). On s’est rendu dans le quartier Libertade, où vivent la majorité des 300 000 Brésilo-Japonais, pour assister à l’entrée en lice des Samouraïs bleus face à la Côte d’Ivoire. Où l’on rencontre des Brésiliens fous de culture japonaise, un champion de sumo, et des disciples de la « Happy Science ».
Les Bleus ouvriront le bal de leur Coupe du monde contre le Honduras. Avec l’équipe de France, un premier match est toujours un évènement. La première fois donne toujours des indications sur la suite de la compétition. Et quand le navire s’apprête à couler, les signes avant-coureurs sont, parfois, là.
Parce qu’une Coupe du monde, c’est surtout avant le coup d’envoi et après le coup de sifflet final que ça se vit. Parce que les supporters à la Coupe du monde, c’est comme les Pit Girls en F1, dans les teasers de match, ils sont mis en avant une image sur quatre. Et parce qu’un Mondial, c’est surtout une immense soirée déguisée qui dure un mois, on s’est dit qu’à l’instar des équipes, les fans aussi méritaient leur fiche. Place à l’Équateur.
Avant le Marseillais, il y eut le Girondin. Un type trop frêle et provocateur que tout le monde donnait perdant, mais qui, à bientôt 30 ans, va jouer sa deuxième Coupe du monde. Retour sur les traces du jeune Mathieu Valbuena.
Historique en Coupe du monde calamiteux (aucune victoire en deux participations), individualités loin d’appartenir au gotha, et trois matchs de préparation sans victoire. Tout indique que le Honduras devrait constituer une commode mise en bouche pour la France. Il existe pourtant des raisons de craindre les Catrachos. Au moins quatre.
Tantôt précis avec les chiffres, tantôt maître de l’échelle du temps, tu sais très bien que la hype de l’été ne sera pas belge, mais bien helvète. D’ailleurs, tu n’en démords pas : ce n’est pas la France qui a eu le meilleur tirage possible pour cette Coupe du monde do Brasil, mais la Nati !
C’était le sujet qui intéressait tout le monde à Porto Alegre. Tout le monde, sauf les deux équipes. Les journalistes français et honduriens ont beau avoir insisté, ils n’ont pas eu leur déclaration choc. Non, les Honduriens n’entreront pas le couteau entre les dents cet après-midi sur la pelouse de l’Internacional pour se venger du documentaire de Canal +.
Eduardo Rihan Cypel : « Sócrates, c’est le Duke Ellington du football »
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Eduardo Rihan Cypel est français, brésilien et député de la 8e circonscription de Seine-et-Marne. Passionné de ballon rond comme tout Brésilien qui se respecte, il vient de mettre en place l’équipe de France de football des députés dont il vient d’être nommé capitaine.
Menés à la mi-temps face au Japon, les Ivoiriens ont renversé la situation après la pause. Et l’entrée d’un certain Didier Drogba n’y est sans doute pas étrangère.