De Monaco à Paris, en passant par l’équipe de France ou même Bastia et Ankaragücü, Jérôme Rothen a gambadé avec du beau monde tout au long de sa carrière. La preuve avec son Onze de rêve, où ne figure curieusement aucun joueur fréquenté à Troyes ou Caen.
Sans club pour le moment et en pleine réflexion sur la suite à donner à sa carrière, Jérémie Janot s’occupe, en attendant, de son complexe de foot indoor, à Andrézieux-Bouthéon, le Club 42. Pour So Foot, il a pris le temps de revenir sur les pires moments de sa carrière, et forcément, ils sont nombreux en plus de dix-sept années de professionnalisme.
Llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwllllantysiliogogogoch, un bled paumé au fin fond du pays de Galles et qui porte le nom le plus long du monde. Et ça, c’est un sacré argument marketing pour vanter le football local. C’est en tout cas ce que croient quelques joueurs du coin, qui ont décidé de transformer leur équipe de bras cassés en club de foot le plus hype du globe. Avec des Brésiliens au milieu de tout ça.
Les plus grands maillots de l’histoire sur son bureau
Les plus grands maillots de l’histoire sur son bureau
Ce Carioca d’une quarantaine d’années a créé les Shirtpapers, des maillots en papier qu’il vend sur internet. La tunique de Basile Boli en 93, celle de Platini à Saint-Étienne, Zidane en 98 et bien d’autres, il suffit de lui demander et Christian vous confectionne une pièce unique de votre maillot préféré. Et ça marche, il a même lâché son boulot pour s’y consacrer à plein temps.
Kompany : «Je ne sens pas encore la fièvre du Mondial»
Kompany : «Je ne sens pas encore la fièvre du Mondial»
La Belgique accueille le Luxembourg, ce soir à Genk (20h45). Son capitaine Vincent Kompany ne cache pas que le Brésil est encore loin. Voilà pourquoi il prend le temps de parler de Manchester City, où le caprice d’anniversaire de Yaya Touré le fait beaucoup rire.
Faut-il boycotter le secteur visiteurs du Parc des Princes ?
Faut-il boycotter le secteur visiteurs du Parc ?
Conditions d’accueil délétères, tarifs exorbitants en parcage, liberté d’expression limitée, tel est le sombre tableau du Parc des Princes dressé par la plupart des ultras français. Du coup, de nombreux groupes de supporters, pas seulement des ultras, ont décidé cette année de ne pas se rendre à Paris pour encourager leur équipe. Quel bilan peut-on tirer aujourd’hui de ces boycotts en série ?
Les lieux à Paris qui devraient plaire à David Luiz
Les lieux à Paris qui devraient plaire à David Luiz
Après Lisbonne et Londres, David Luiz va découvrir une troisième capitale d’Europe. Le Brésilien va débarquer à Paris, rejoignant ainsi ses compatriotes Thiago Silva, Lucas ou Maxwell. Voilà les 7 lieux parisiens qui devraient plaire au défenseur.
Le Maracanaço ou comment le Brésil a changé de couleur
Le Maracanaço ou comment le Brésil a changé de couleur
On l’oublie souvent, mais le Brésil a attendu trente ans avant de remporter sa première Coupe du monde. La Seleção aurait pu accomplir l’exploit huit ans plus tôt sur ses terres si l’Uruguay ne s’était pas mis en travers de son chemin. Et si, visiblement, son maillot avait été plus patriote.
Le Brésil et la Ligue 1, c’est d’abord Ronaldinho, Raï, Anderson, Edmilson ou Juninho… Mais aussi quelques erreurs de casting. Voici le onze type des plus mauvais Brésiliens passés par notre championnat. Attention à l’embouteillage en attaque.
Alors que tout le monde peaufinait ses préparatifs pour la finale de Ligue des champions, en parallèle, QPR s’est octroyé à Wembley le troisième ticket qualificatif pour la Premier League. Un bon hold-up à 100 millions d’euros qui fait à peine oublier les folies financières d’un drôle de président.
Après la transition Vilanova-Roura et la tentative de rupture de Tata Martino, que vient faire Luis Enrique ? De qui s’inspire-t-il ? Comment a-t-il fait jouer ses équipes précédentes ? Est-il si guardolesque que ses costumes peuvent le faire croire ? Alors, rupture ou continuité ?
Cet Atlético Madrid aura tout donné. Il n’avait pas plus, et la terre entière a pu le constater lors de la prolongation, quand les Colchoneros n’avaient plus l’énergie suffisante pour empêcher Di María de danser, Bale d’écrire l’histoire, Marcelo de dribbler et Cristiano de marquer son petit but. Un petit but pour une grande victoire. La dixième.
Arthur a dormi sur la pelouse de Geoffroy-Guichard
Arthur a dormi sur la pelouse de Geoffroy-Guichard
Grâce au concours « I have a dream » organisé par le12èmehomme Orange, Arthur a pu réaliser son rêve : dormir sur la pelouse de Geoffroy-Guichard. Vendredi 16 mai, à la veille de l’ultime match des Verts en championnat face à Ajaccio, Arthur a donc planté sa tente sur le pré stéphanois pour y passer la nuit. Camping au stade, donc.
Costa, le placenta de jument et la mort avant l’heure de l’Atlético
Costa, le placenta de jument et la mort avant l’heure de l’Atlético
L’Atlético a craqué hier à la 93e minute contre les coups de boutoir adverses avant de lâcher physiquement en prolongation… Et si la cause de la défaite était à chercher avant ? Simeone aurait-il une part de responsabilité là-dedans ?
Hier soir, en exhibant ses abdos après un pénalty généreux à la 120e minute d’un match déjà plié et lors duquel il n’a pas brillé, Cristiano Ronaldo a réveillé tous ses haters. Une nouvelle maladresse comme pour confirmer que même dans la gloire absolue, celle de la sacrosainte Decima, le meilleur joueur du monde ne fera jamais l’unanimité. Forcément, quand on vous demande d’être le meilleur homme du monde…
Animateur du « JT » tous les jours sur Game One, Julien Tellouck se transforme le week-end en supporter du PSG. Un bonhomme qui aime autant disserter sur la rivalité FIFA-PES que sur l’incroyable expérience qu’était le PSG-Bucarest de 1997. Quand il ne se vante pas d’avoir tôlé Thierry Henry sur Winning Eleven.
On était à Madrid pour la finale de la Ligue des champions
On était à Madrid pour la finale de la Ligue des champions
La finale formelle de la C1 avait lieu à Lisbonne avec ses officiels en costard et Michel Platini en faiseur de roi. La vraie finale cependant se déroulait dans les rues de Madrid, entre supporters de l’Atlético et du Real Madrid, entre Neptuno et Cibeles, une Mahou à la main, des rêves plein la tête et les yeux rougis pas l’émotion. Reportage.
«La Décima se devait d'être spéciale et elle l'a été»
«La Décima se devait d’être spéciale et elle l’a été»
Quelques heures avant de voter pour désigner ses députés, l’Europe s’est réunie pour regarder la finale à suspense de la Ligue des champions entre le Real Madrid et l’Atlético. Ce matin forcément, entre deux papiers sur les enjeux de ce scrutin, les quotidiens européens accordent quelques lignes pour évoquer le bisou de Casillas à Ramos et saluer le beau parcours du onze de Simeone. Revue de presse.
La finale de la Ligue des champions ne s’est pas jouée qu’à Lisbonne, hier soir. Sur la toile, les débats étaient largement aussi houleux que sur la pelouse du stade de la Luz, entre pro-Merengues et fans des Colchoneros. Et les RT se sont multipliés comme des séries d’abdos de Cristiano Ronaldo.
Le Real a longtemps raté sa finale. Et puis Sergio Ramos s’est élevé. Haut, très haut. Après, Di María n’avait plus qu’à dribler, Bale à suivre et Cristiano à offrir son corps de mutant aux caméras.
Difficile de noter des joueurs qui ont été parfaits et héroïques pendant 93 minutes, puis qui ont explosé et pris quatre buts en l’espace d’une demi-heure. Un problème qui ne concerne pas Diego Costa, qui n’est resté sur la pelouse que lors des huit premières minutes.
Renversant ! Mené 1 à 0 à quelques secondes de la fin de la rencontre, le Real Madrid a su égaliser par Sergio Ramos avant de s’imposer 4 à 1 après prolongation. Un scénario difficile pour l’Atlético Madrid, mais logique au vu de la physionomie de la rencontre.
Ils l’ont fait! Auteurs d’une prestation à leur image, terriblement courageuse et efficace, les joueurs de l’Atlético Madrid réalisent un doublé historique grâce à un but de Diego Godín qui a su lober un Iker Casillas pas vraiment irréprochable. Ce soir, Madrid est rouge et blanc !
Le football est un sport qui se pratique à 11 et qui voit souvent des Espagnols soulever une coupe à la fin ces dernières années. Trop vite annoncé sur le déclin après la finale allemande de la Ligue des champions l’an dernier, l’Espagne a repris sa domination, comme le prouve le derby de Madrid en finale de la C1 ce samedi.
Ligue des champions – Finale – Atlético Madrid/Real Madrid
Tu sais que tu détestes le football espagnol quand…
Tu sais que tu détestes le football espagnol quand…
Pour toi, une finale 100% espagnole, c’est un peu comme l’enfer. Ton football, tu l’aimes sans vice, sans dopage et sans conservations de balle à la con. Toi, tu faisais LV1 allemand, comme tous les bons élèves. Toi, tu détestes le football espagnol.
En course pour un doublé aussi sexy qu’historique, les joueurs de l’Atlético Madrid savent d’où ils viennent. Leur ADN est celui d’un loser. Un éternel perdant en passe de prendre une revanche sur la vie. Une revanche sur une saison 1999/2000 restée dans les annales. Oui, il y a 14 ans, l’Atlético Madrid descendait avec une équipe plutôt sexy et après une défaite en finale de la Coupe du Roi. Flashback.
Ce derby final est déjà plein d’histoires. La Primera contre la Décima, Diego Costa le parvenu contre Cristiano le prédestiné, « Cholo » l’intériste et laziale contre « Carletto » le milaniste et romaniste, le duel des héros entre Godín et Ramos, la possible passation de pouvoir entre Casillas et Courtois, les blessés, la suspension dramatique de Xabi Alonso… Un tas d’histoires, donc. Et quelle histoire tactique ?
C’est officiel depuis hier, Craig Bellamy met un terme à sa carrière de footballeur. Du Gallois, on retiendra surtout sa grinta, sa folie et ses coups de sang. Toutefois, il ne faut pas oublier que le natif de Cardiff a été un bon footballeur. Retour sur six anecdotes de la vie du bonhomme, avec de l’excès, bien entendu, mais pas seulement.
Sergio Ramos a deux facettes. Meilleur central mondial, qui plus est ultra offensif, pour les uns, défenseur râleur et sanguin pour les autres, il est actuellement dans une forme resplendissante. Retour sur ses terres pour revenir sur le cas Ramos.
De l’art de préparer une finale de Ligue des champions
De l’art de préparer une finale de Ligue des champions
Ce soir, c’est la finale de la Ligue des champions, ce soir c’est aussi la 59e finale de la C1. Pourtant, un peu plus d’un demi-siècle plus tard, la ferveur autour de l’événement est toujours la même. Une passion qui excite, transcende et paralyse même parfois les principaux intéressés. De quoi nous donner l’envie de se plonger dans l’intimité des préparatifs. Entre grosse déconne et mises au vert prolongées.