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En direct : France – Norvège (4 – 0)
93′ : Salut les loulous! On se quitte sur cette belle victoire. A noter côté français, la …
93′ : Salut les loulous! On se quitte sur cette belle victoire. A noter côté français, la …
Depuis que la charnière Blanc-Desailly a permis aux Bleus d’atteindre le toit du monde, la France du football est persuadée qu’il faut impérativement associer un « libéro » à un « stoppeur ». Des considérations d’un autre temps alors que Deschamps n’a toujours pas fixé sa paire.
Une finale de Ligue des champions est une affaire de professionnels. Il ne suffit pas de vouloir pour pouvoir. Au Real, la plus grande arme, ce n’est pas le budget ou le président. C’est la langue.
Ce soir, la France disputera le premier de ses trois matchs de préparation au Mondial, face à la Norvège. Si pour certains sceptiques, cette opposition a des airs de purge dénuée d’enjeux, ils feraient tout de même bien d’y jeter un œil. Ces rencontres se sont bien souvent avérées décisives, obligeant parfois le sélectionneur à repenser ses plans à quelques jours du Mondial. Petit rappel.
Ce soir, les Bleus affrontent la Norvège pour leur premier match de préparation au Mondial. Un pays qui sait battre le Brésil en Coupe du monde et qui sort régulièrement des joueurs de gros calibre. Top 10 des Norvégiens vendeurs de rêve ou presque.
Comme d’habitude, la Premier League a encore offert son lot de surprises cette saison. Et, surtout, quelques séances de paluchage sur de splendides buts. Des pralines, des gestes soudains, des chevauchées folles… C’est peu dire que les gardiens du championnat anglais n’ont pas été respectés. Vraiment pas. Sélection des dix plus beaux buts de cette édition 2013/2014.
« Parce que cette histoire devait être racontée en profondeur, plus loin qu’une simple histoire de football », Pedro Asbeg a consacré le documentaire Democracia em preto e branco à l’agitation socio-culturelle qu’a connue le Brésil au début des années 80, par le prisme de la Démocratie corinthiane.
De Monaco à Paris, en passant par l’équipe de France ou même Bastia et Ankaragücü, Jérôme Rothen a gambadé avec du beau monde tout au long de sa carrière. La preuve avec son Onze de rêve, où ne figure curieusement aucun joueur fréquenté à Troyes ou Caen.
Sans club pour le moment et en pleine réflexion sur la suite à donner à sa carrière, Jérémie Janot s’occupe, en attendant, de son complexe de foot indoor, à Andrézieux-Bouthéon, le Club 42. Pour So Foot, il a pris le temps de revenir sur les pires moments de sa carrière, et forcément, ils sont nombreux en plus de dix-sept années de professionnalisme.
Llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwllllantysiliogogogoch, un bled paumé au fin fond du pays de Galles et qui porte le nom le plus long du monde. Et ça, c’est un sacré argument marketing pour vanter le football local. C’est en tout cas ce que croient quelques joueurs du coin, qui ont décidé de transformer leur équipe de bras cassés en club de foot le plus hype du globe. Avec des Brésiliens au milieu de tout ça.
Ce Carioca d’une quarantaine d’années a créé les Shirtpapers, des maillots en papier qu’il vend sur internet. La tunique de Basile Boli en 93, celle de Platini à Saint-Étienne, Zidane en 98 et bien d’autres, il suffit de lui demander et Christian vous confectionne une pièce unique de votre maillot préféré. Et ça marche, il a même lâché son boulot pour s’y consacrer à plein temps.
La Belgique accueille le Luxembourg, ce soir à Genk (20h45). Son capitaine Vincent Kompany ne cache pas que le Brésil est encore loin. Voilà pourquoi il prend le temps de parler de Manchester City, où le caprice d’anniversaire de Yaya Touré le fait beaucoup rire.
Conditions d’accueil délétères, tarifs exorbitants en parcage, liberté d’expression limitée, tel est le sombre tableau du Parc des Princes dressé par la plupart des ultras français. Du coup, de nombreux groupes de supporters, pas seulement des ultras, ont décidé cette année de ne pas se rendre à Paris pour encourager leur équipe. Quel bilan peut-on tirer aujourd’hui de ces boycotts en série ?
Après Lisbonne et Londres, David Luiz va découvrir une troisième capitale d’Europe. Le Brésilien va débarquer à Paris, rejoignant ainsi ses compatriotes Thiago Silva, Lucas ou Maxwell. Voilà les 7 lieux parisiens qui devraient plaire au défenseur.
On l’oublie souvent, mais le Brésil a attendu trente ans avant de remporter sa première Coupe du monde. La Seleção aurait pu accomplir l’exploit huit ans plus tôt sur ses terres si l’Uruguay ne s’était pas mis en travers de son chemin. Et si, visiblement, son maillot avait été plus patriote.
Le Brésil et la Ligue 1, c’est d’abord Ronaldinho, Raï, Anderson, Edmilson ou Juninho… Mais aussi quelques erreurs de casting. Voici le onze type des plus mauvais Brésiliens passés par notre championnat. Attention à l’embouteillage en attaque.
Alors que tout le monde peaufinait ses préparatifs pour la finale de Ligue des champions, en parallèle, QPR s’est octroyé à Wembley le troisième ticket qualificatif pour la Premier League. Un bon hold-up à 100 millions d’euros qui fait à peine oublier les folies financières d’un drôle de président.
Après la transition Vilanova-Roura et la tentative de rupture de Tata Martino, que vient faire Luis Enrique ? De qui s’inspire-t-il ? Comment a-t-il fait jouer ses équipes précédentes ? Est-il si guardolesque que ses costumes peuvent le faire croire ? Alors, rupture ou continuité ?
Cet Atlético Madrid aura tout donné. Il n’avait pas plus, et la terre entière a pu le constater lors de la prolongation, quand les Colchoneros n’avaient plus l’énergie suffisante pour empêcher Di María de danser, Bale d’écrire l’histoire, Marcelo de dribbler et Cristiano de marquer son petit but. Un petit but pour une grande victoire. La dixième.
Grâce au concours « I have a dream » organisé par le12èmehomme Orange, Arthur a pu réaliser son rêve : dormir sur la pelouse de Geoffroy-Guichard. Vendredi 16 mai, à la veille de l’ultime match des Verts en championnat face à Ajaccio, Arthur a donc planté sa tente sur le pré stéphanois pour y passer la nuit. Camping au stade, donc.
L’Atlético a craqué hier à la 93e minute contre les coups de boutoir adverses avant de lâcher physiquement en prolongation… Et si la cause de la défaite était à chercher avant ? Simeone aurait-il une part de responsabilité là-dedans ?
Hier soir, en exhibant ses abdos après un pénalty généreux à la 120e minute d’un match déjà plié et lors duquel il n’a pas brillé, Cristiano Ronaldo a réveillé tous ses haters. Une nouvelle maladresse comme pour confirmer que même dans la gloire absolue, celle de la sacrosainte Decima, le meilleur joueur du monde ne fera jamais l’unanimité. Forcément, quand on vous demande d’être le meilleur homme du monde…
Animateur du « JT » tous les jours sur Game One, Julien Tellouck se transforme le week-end en supporter du PSG. Un bonhomme qui aime autant disserter sur la rivalité FIFA-PES que sur l’incroyable expérience qu’était le PSG-Bucarest de 1997. Quand il ne se vante pas d’avoir tôlé Thierry Henry sur Winning Eleven.
La finale formelle de la C1 avait lieu à Lisbonne avec ses officiels en costard et Michel Platini en faiseur de roi. La vraie finale cependant se déroulait dans les rues de Madrid, entre supporters de l’Atlético et du Real Madrid, entre Neptuno et Cibeles, une Mahou à la main, des rêves plein la tête et les yeux rougis pas l’émotion. Reportage.
Quelques heures avant de voter pour désigner ses députés, l’Europe s’est réunie pour regarder la finale à suspense de la Ligue des champions entre le Real Madrid et l’Atlético. Ce matin forcément, entre deux papiers sur les enjeux de ce scrutin, les quotidiens européens accordent quelques lignes pour évoquer le bisou de Casillas à Ramos et saluer le beau parcours du onze de Simeone. Revue de presse.
La finale de la Ligue des champions ne s’est pas jouée qu’à Lisbonne, hier soir. Sur la toile, les débats étaient largement aussi houleux que sur la pelouse du stade de la Luz, entre pro-Merengues et fans des Colchoneros. Et les RT se sont multipliés comme des séries d’abdos de Cristiano Ronaldo.
Le Real a longtemps raté sa finale. Et puis Sergio Ramos s’est élevé. Haut, très haut. Après, Di María n’avait plus qu’à dribler, Bale à suivre et Cristiano à offrir son corps de mutant aux caméras.
Difficile de noter des joueurs qui ont été parfaits et héroïques pendant 93 minutes, puis qui ont explosé et pris quatre buts en l’espace d’une demi-heure. Un problème qui ne concerne pas Diego Costa, qui n’est resté sur la pelouse que lors des huit premières minutes.
Renversant ! Mené 1 à 0 à quelques secondes de la fin de la rencontre, le Real Madrid a su égaliser par Sergio Ramos avant de s’imposer 4 à 1 après prolongation. Un scénario difficile pour l’Atlético Madrid, mais logique au vu de la physionomie de la rencontre.
Ils l’ont fait! Auteurs d’une prestation à leur image, terriblement courageuse et efficace, les joueurs de l’Atlético Madrid réalisent un doublé historique grâce à un but de Diego Godín qui a su lober un Iker Casillas pas vraiment irréprochable. Ce soir, Madrid est rouge et blanc !
120′ : On va se quitter là-dessus. C’était bon, c’était chouette, mais le plus cool, c’est …