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En attendant Zico – Épisode 7 : La valise et le travesti
Où JB rencontre enfin Monsieur Edward, et ses charmantes colocatrices…
Où JB rencontre enfin Monsieur Edward, et ses charmantes colocatrices…
Le Costa Rica s’est fait sortir par les Pays-Bas, mais la défaite des Ticos réunit tous les ingrédients de leur folle épopée brésilienne : rigueur collective, solidarité, frissons et gardien héroïque. Récit de cette défaite vue du bled, à San José, la capitale, entre une sono de teknival et des litres de sueur.
Des matchs à 13 heures globalement décevants, sous le soleil, des pleurs, une bise de Rihanna, le coup du Pélican ou encore un fugitif colombien. Les quarts de finale sont désormais derrière nous et laissent dix questions en suspens, avant d’attaquer le dernier carré.
Cette semaine paraît le premier tome Passion de la bande dessinée Prolongations, une plongée chorale dans le milieu du football. Robin Walter, l’auteur, nous explique les raisons qui l’ont poussé à se lancer dans ce projet. Sans oublier de parler un peu PSG, Cantona et Bruno Derrien.
Une folle histoire de gardiens. Pendant 119 minutes, Keylor Navas a été l’homme de ce quart de finale. Et puis Van Gaal a lancé Tim Krul. La suite appartient déjà à la légende de la Coupe du monde. Oui, déjà.
Une folie furieuse. Entré en jeu dans les ultimes instants de la prolongation, Tim Krul, troisième gardien des Pays-Bas, a envoyé les siens en demi-finale au terme d’une séance de tirs au but. Les Oranje verront bien le dernier carré.
121′ : C’est fini, les Bataves s’en sortent et seront en demies. Van Gaal, qui a fait rentrer Krul, qui a sorti deux pénos, va sûrement être traité de génie par toute la planète.
Emmenée par un Lionel Messi de gala, l’Argentine a globalement maîtrisée une Belgique bien timide. Et avec le réveil d’Higuaín, auteur d’un superbe but, l’Argentine peut viser plus haut.
Révélation de la Liga et dragué par les plus grands clubs européens, Keylor Navas est aussi et surtout l’un des grands acteurs de l’incroyable Mondial costaricain. Portrait.
L’opposition de style n’a finalement été que dans un sens. À Brasilia, et comme en 86, l’Argentine a dominé une équipe de Belgique qui a plus déjoué que joué (1-0). L’Albiceleste a gagné, mais elle a aussi perdu gros, Ángel Di María sur blessure. Sinon, on a retrouvé Gonzalo Higuaín.
95′ : C’est fini à Brasilia sur ce petit 1-0 en faveur de l’Argentine. Les Belges ont tardé à …
Au lendemain de l’élimination sans panache de l’équipe de France, la presse européenne est partagée sur la manière de qualifier cette sortie des Bleus : saluer leur beau parcours et une unité retrouvée ou fustiger ce quart de finale pas à la hauteur de l’affiche.
L’EDF est tombée sur plus forte qu’elle, certes, mais l’EDF a manqué de réussite, d’expérience et de confiance. Pire, d’idées. Dommage, pour une fois qu’on avait vraiment du pétrole…
Il est jeune, talentueux, doué techniquement et adroit face au but, il a joué en France et pourtant, personne ou presque ne le connaissait avant cette saison. Joel Campbell, l’attaquant costaricien de 22 ans, est l’une des grandes révélations de ce Mondial brésilien. Pourtant, ses premiers pas dans le foot européen n’ont pas été des plus aisés. Retour sur son début de carrière professionnelle chez nous, en France, au FC Lorient.
Ils se sont battus, ils ont perdu, nous sommes tristes, le Mondial est terminé. C’est encore la faute à ces satanés « détails » qui nous poursuivent. Gagner, c’est bien. Mais perdre, c’est encore mieux.
Son but contre la Suisse a enfin attiré la lumière sur Ángel Di María. Travailleur, dribbleur, buteur. Et peut-être le joueur le plus important de cette Coupe du monde.
Comme à l’Euro 2012, les Français se sont arrêtés en quarts de finale. Sauf que cette fois, les regrets sont réels tant il y avait la place de passer. À condition d’y mettre les formes.
Souvent raillée pour être composée essentiellement de gros égos, la sélection des Pays-Bas peut néanmoins compter sur un infatigable travailleur voué entièrement au collectif : Dirk Kuyt l’insubmersible, homme de l’ombre ô combien décisif dans la qualification des siens au tour précédent en jouant à trois postes différents au gré des changements tactiques gagnants de coach Van Gaal.
C’est un mot que l’on utilise un peu partout, un peu tout le temps : l’expérience. Comme dans « gagner à l’expérience ». Un truc qui veut tout et rien dire. Mais vendredi, cette expression s’est matérialisée lors du match des Bleus. Car s’il y a bien quelque chose qui a manqué aux joueurs français, c’est cette fameuse expérience.
Sélectionné à trois reprises avec les Oranje, Adick Koot est surtout connu pour être le joueur le plus capé de l’histoire de l’AS Cannes, club au sein duquel il a disputé 220 matchs en huit ans, de 1991 à 1999. À quelques heures du quart de finale des Pays-Bas face au Costa Rica, l’ancien entraîneur-joueur cannois évoque les changements tactiques opérés en profondeur par Louis van Gaal.
Le forfait de Neymar est venu gâcher la fête et la qualification du Brésil pour la demi-finale de sa Coupe du monde. Un homme concentre le ressentiment de tout un pays : Juan Zúñiga, le défenseur de la Colombie auteur du coup de genou sur le numéro dix de la Seleção.
Si l’élimination face à l’Allemagne laisse surtout des regrets aux joueurs de l’équipe de France, ces derniers ont avant tout cherché à positiver et veulent croire que le futur leur appartient. Un futur qui passe par l’Euro en France en 2016.
Une mine dans la lucarne pour l’éternité, un joueur pour le présent et l’avenir. Auteur d’un coup franc splendide, David Luiz a donné la réplique à un James Rodríguez toujours aussi séduisant.
En se qualifiant pour les demi-finales de sa Copa, ce vendredi à Fortaleza, le Brésil a vaincu deux adversaires : la Colombie (2-1) et la peur. Thiago Silva a rassuré, mais sera suspendu pour la demi-finale. David Luiz a mis son coup de canon, et la fête continue.
96′ : Merci à vous d’avoir suivi ce live. La soirée s’annonce moisie mais vous m’avez mis du baume au coeur.
Sous la chaleur accablante du soleil brésilien, les Allemands sont venus avec leur glacière pour endormir le match. Aucun Français n’est sorti du frigo.
Les Bleus n’ont pas vengé leurs aînés de 1982 et 1986. Dans un quart de finale qui n’a jamais vraiment voulu débuter, l’Allemagne s’est juste montrée plus réaliste et a géré l’avantage acquis grâce à Hummels dès l’entame. Triste.
Au Brésil, c’est tout un pays qui s’arrête quand la sélection joue. En Colombie, le président a décrété une demi-journée fériée pour le quart de finale des Cafeteros. Alors que la France affronte l’Allemagne aujourd’hui, quelles conséquences découleraient d’une telle décision dans tout l’Hexagone ?
94′ : On attendait une revanche, on a eu une purge. Les Allemands étaient pourtant bel et bien …
Depuis 1978, les habitants d’un quartier de Tijuca, à moins d’un kilomètre du Maracanã, se réunissent par milliers dans la rue pour suivre sur écran géant tous les matchs de la Seleção en Coupe du monde. Entre souvenirs des victoires de 1994 et 2002, douche de bière et odeurs de saucisse, cette fête purement brésilienne fait de l’ombre à la Fan Fest officielle mise en place par la FIFA.
Maintenant, les Allemands sont techniques, gentils, polis, bien coiffés, avec des têtes de boy scout. Mais avant, surtout du point de vue français, c’était des casseurs avec une grande gueule. Une autre époque. La preuve par 10.