Souvent, derrière le nom d’un stade, se trouve celui d’un homme. Une figure éminente de la ville ou d’un club. En 1968, un an après la création de l’ASNL, l’enceinte de Tomblaine était rebaptisée Marcel-Picot.
Souvent, derrière le nom d’un stade, on trouve celui d’un homme. À Naples, le stade du Napoli a ainsi adopté le nom du treizième apôtre du Christ, Saint Paul.
À Bordeaux, seuls les enfants à l’éducation quelque peu laxiste parlent de Chaban-Delmas. Pour tous les autres, il s’agit du mythique Parc Lescure, qui doit son nom à une ancienne chapelle.
Souvent, derrière le nom d’un stade, se trouve celui d’un homme. Le stade Artemio-Franchi de Florence honore l’un des dirigeants les plus influents et emblématiques de l’histoire du football italien.
Derrière le nom du célèbre stade andalou se cache celui d’un piètre footballeur. Mais aussi un avocat qui a œuvré toute sa vie pour son club de cœur : le Séville FC.
Souvent, derrière le nom d’un stade, se trouve celui d’un homme. Une figure éminente de la ville ou du club. C’est le cas à Clermont avec Gabriel Montpied, ancien maire de la ville.