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Top 10 : Papinades
Parmi tous ses buts, nombreuses sont les acrobaties et reprises. Tellement nombreuses qu’elles ont désormais un nom : les Papinades.
Parmi tous ses buts, nombreuses sont les acrobaties et reprises. Tellement nombreuses qu’elles ont désormais un nom : les Papinades.
Il y a bientôt un quart de siècle, les Guignols de l’info créait le double latex de Jean-Pierre Papin.
Un style unique, des buts hors du commun, une efficacité rare, une simplicité dans la manière de jouer. Et tout ça grâce à son instinct.
Jamais le plus talentueux ni le plus glamour, il a pourtant tout gagné. Comme joueur, puis comme entraîneur.
Impossible d’échapper à la case rugby quand on vient de Bayonne. Didier Deschamps le sait, lui qui a eu droit à sa dose de ballon ovale avant de filer jouer au football.
Malgré sa bonne réputation, Deschamps n’a jamais échappé aux clashs. Qu’il a souvent provoqués, mais qu’il a toujours gagnés.
Le 17 mars 1955, l’équipe de France allait défier la sélection espagnole à Madrid pour un match qui n’avait d’amical que le nom. Ce jour-là, Raymond Kopa a séduit les deux pas : la France et l’Espagne.
Quand Raymond Kopa s’enchaînait la Coupe des clubs champions trois fois d’affilée.
Premier Ballon d’or français et demi-finaliste de la Coupe du monde 1958, Raymond Kopa a aussi était un pionnier du business et du syndicalisme dans le foot hexagonal.
Après le top 100 joueurs anglais, c’est au tour du top 100 joueurs français. Aujourd’hui, les joueurs classés entre la 10e et la 6e place.