93′ : Et c’est fini. L’OM y a cru mais a perdu 3-2. Le Napoli continue sa route, l’OM poursuit son chemin avec un petit peu de mieux. C’est déjà ça, chantait Souchon. A toute les loulous.
90′ : Et voilà, les trois coups de sifflet retentissent, Milan n’a pas fait le poids face au rouleau compresseur du Barça. Supérieurs dans tous les secteurs, mis à part peut-être l’espace d’un quart d’heure en seconde mi-temps, les Barcelonais filent vers les huitièmes. Messi a été double buteur d’ailleurs.
«Naples et Marseille sont deux villes stigmatisées qui s’accrochent à leur club»
«Naples et Marseille sont deux villes stigmatisées qui s’accrochent à leur club»
Tandis que Marseille se déplace ce soir à Naples pour le compte de la quatrième journée de Ligue des champions, entretien avec l’ethnologue et sociologue du football Christian Bromberger, auteur d’une étude comparée entre l’OM et le Napoli dans les années 1990. L’occasion de voir que les deux clubs ont beaucoup en commun, notamment dans ce qu’il appelle leur « passion partisane ».
Ce soir, le Napoli reçoit l’OM au stadio San Paolo. Pour les Napolitains, l’objectif est clair : prendre trois points, histoire d’aborder les deux confrontations directes face à Arsenal et Dortmund avec le plein de confiance. Ni plus, ni moins.
Ligue des champions – J4 – Groupe F – Naples/Marseille
Imbula et le syndrome du miracle
Imbula et le syndrome du miracle
C’est Daniel Riolo, dans son style qui l’a rendu célèbre à Las Vegas, qui a allumé la mèche : « J’aimerais punir tout ceux qui se sont enflammés comme des dingues sur Imbula ! Les priver de parole. » Une remarque un brin dictatoriale, mais qui a le mérite de mettre le doigt sur un mal chronique du football moderne : miser gros et s’emballer sur un cheval qui n’est encore qu’un joli poulain. Le joueur et les observateurs raisonnés, eux, ne s’inquiètent pas. Petit Gianelli deviendra grand Imbula.
Avec un seul but en cinq rencontres, la machine Messi serait-elle en crise ? Oui, répondront les statistiques. Non, contestera le bon sens. Malgré une légère baisse de régime, rien d’inquiétant pour l’Argentin et son Barça qui dispose d’autres armes de destruction massive.
Alors que le milieu de terrain était au niveau, ses dix potes de soirées l’ont un peu laissé tomber au milieu d’un Parc des Princes pas tellement inspiré non plus. Un match sans. Ouais, ça arrive.
Trop suffisants pour avoir plus, trop talentueux pour avoir moins. Opposés à une équipe d’Anderlecht bien plus solide qu’il y a deux semaines, les joueurs du Paris Saint-Germain prennent un point qui les rapproche un peu plus des huitièmes de finale de la Ligue des champions. Un point et pas plus, après une prestation médiocre.
95′ : Allez, bonne soirée tout le monde! On vous conseille de zapper sur Londres, où Djokovic et Federer livrent une belle bataille. Tout en restant sur So Foot, évidemment. D’ailleurs, n’oubliez pas d’acheter le numéro 111 qui sort demain en kiosque!
http://www.sofoot.com/so-foot-111-trifon-ivanov-176902.html