Dans des conditions apocalyptiques, Galatasaray a fait tomber la Juve pour valider son billet pour les 8es. Les Italiens, handicapés par une pelouse indigne de la Ligue des champions, sont éliminés d’une poule pourtant largement à leur portée.
Après une longue absence, Stephan El Shaarawy a enfin fait son retour avec le maillot milanais. Celui qui avait tenu le Milan AC sur ses épaules en début de saison dernière pourrait bien être le renfort dont a tant besoin Massimiliano Allegri.
94′ : Les Italiens ont de quoi l’avoir mauvaise, mais c’est le jeu. Le duo Drogba-Sneijder aura fait la différence. Sympa en tout cas ces matchs raccourcis en début d’aprem. Allez, on se retrouve ce soir, avec le dénouement du groupe F de José Anigo.
Ce soir, fait unique dans l’histoire moderne de la Ligue des champions depuis le PSG en 1997-98, une équipe – Naples ou Arsenal – peut être éliminée de la C1 avec 12 points au compteur. À l’inverse, Chelsea peut terminer premier de sa poule avec 9 unités. La preuve que les points ne comptent pas toujours.
Meilleure défense de Premier League et de leur groupe en Ligue des champions avec seulement 14 petits buts encaissés cette saison dans ces deux compétitions, les Gunners ont confirmé l’élan aperçu l’année dernière et dispensé quelques leçons de football en prime. Le tout en n’ayant recruté aucun défenseur.
En décrassage sur la pelouse du stade de la Luz, l’équipe A’ du Paris Saint-Germain s’est inclinée face au Benfica. Auteurs d’une partie médiocre, les Parisiens concèdent une deuxième défaite en trois matchs que tout le monde ne devrait pas tarder à oublier. Il faut dire qu’à part la conduite de balle d’Adrien Rabiot, il n’y avait pas grand-chose à voir.
33 minutes, c’est le temps qu’aura duré le match décisif du groupe B entre Galatasaray et la Juventus. La neige a rendu impraticable le terrain, et l’arbitre a dû interrompre la rencontre. D’abord interrompu 15 minutes, le match a finalement été reporté. Reste à savoir quand.
93′ : On se quitte sur cette phrase d’Adrien Rabiot au micro de Canal + : « on a perdu mais on aurait pu gagner ». Merci, gamin.
92′ : C’est fini. Ce Bayern n’est pas invincible. Interstellaire durant la première demi-heure, le champion d’Europe s’est fait rentrer dans le lard par la suite. City s’impose à la surprise générale en Bavière mais reste deuxième de son groupe. On s’est régalés.
En réalisant le triplé, le bon vieux Jupp a mis un tout petit peu de pression sur les épaules de son successeur annoncé. Mais pour l’instant, Pep est dans les clous. Et si son Bayern remodelé s’impose ce soir contre Manchester City, il fera même mieux au niveau de ses temps de passage.