Cinq matchs, 11 buts, on ne s’est pas embêté ce soir sur les pelouses de l’Hexagone. D’Étienne Didot buteur au retour avorté de Pierre-Alain Frau. De Monaco qui fait le boulot à Toulouse qui étonne, la Ligue 1 a encore réservé son lot de surprises.
93′ : C’est terminé à Guingamp! Rapidement devant au score et en supériorité numérique, Monaco quittera la Bretagne avec trois points de plus dans la besace. Les hommes de Ranieri ne laissent pas le PSG s’échapper.
Tranquilles comme jamais face à des Rennais impuissants offensivement, les Parisiens s’imposent 3 à 1 en terre bretonne et atteignent la fameuse barre des 43 points : celle du maintien.
93′ : C’est fini ! Paris s’impose logiquement face au Stade Rennais (1-3). Sans jamais donner l’impression de s’employer, le PSG a fait preuve de réalisme pour battre des Rennais inoffensifs.
Face à Hambourg, les Bavarois ont fait le travail en s’imposant 3-1. Sans être jamais inquiétés et en accélérant aux moments adéquats. Tout le contraire d’un BVB complètement à réaction, qui a attendu d’être mené 2-0 par Hoffenheim pour se réveiller. Les joueurs de Klopp repartent avec le point du nul, mais aurait pu espérer beaucoup mieux.
Cinq pions de mieux que le tarif maison. Désormais auteurs de 49 buts en 12 matchs disputés à domicile, les joueurs de Manchester City ont fait exploser les Gunners. Auteurs d’une belle partie, les joueurs de Pellegrini ont prouvé qu’il faudra compter sur eux dans la lutte pour le titre. Côté Arsenal, rien de bien grave, mais il faudra rebondir la semaine prochaine… face à Chelsea.
96′ : C’est fini ! Le match de tennis s’arrête donc là. City s’impose 6-3 au terme d’un set rondement mené. Arsenal a passé une sale semaine mais quel spectacle ! Le championnat n’était pas joué, il est revanche complètement relancé. Capito ? A plus les zozos.
Écarté depuis six journées de championnat des buts de Manchester City, au profit de Costel Pantilimon, Joe Hart n’a pourtant aucune raison de se faire du mouron quant à sa participation à la Coupe du monde. Ce qui n’est pas le cas de tous les internationaux en difficulté à six mois du grand raout brésilien.
Brillant pour certains, un intermittent du spectacle pour d’autres. Passé notamment par le PSG et Sunderland, Stéphane Sessègnon ne laisse indifférent personne. Évoluant aujourd’hui au sein de la modeste formation de West Bromwich, le Béninois aux jambes de feu continue de s’illustrer entre fulgurances et trous d’air.
Le capitaine du PSG est parfois décrit comme le meilleur défenseur central du monde. Un titre un brin pompeux et surtout inutile. Une chose est certaine, le Brésilien est un crack à visage humain. Et c’est mieux comme ça