Dans la nuit lyonnaise, la pluie n’a pas eu raison du spectacle et du suspense. Emmené jusqu’en prolongation par un but dans les arrêts de jeu, l’Olympique lyonnais a finalement craqué en s’inclinant devant un RC Lens courageux.
Il était une fois Richard Moller-Nielsen et le Danemark 92
Il était une fois Richard Moller-Nielsen et le Danemark 92
Richard Moller-Nielsen est mort ce jeudi à l’âge de 77 ans. Sélectionneur du Danemark de 1990 à 1996, il a été le cerveau du plus beau casse de l’histoire du foot lors de l’Euro 1992. Et dire que cet été-là, Richard avait surtout prévu de refaire la cuisine familiale à la demande de sa femme. L’Histoire en aura voulu autrement.
123′ : C’est fini ! Mené 1-0 jusqu’à la 93ème, Lens s’impose finalement 2-1 à Lyon et se qualifie pour les quarts de finale de la Coupe de France. Les Lensois iront à Louis II pour affronter Monaco.
«On peut dire que c’est le plus beau match de ma vie»
«On peut dire que c’est le plus beau match de ma vie»
En 2002, Lyon et Lens se retrouvent à Gerland pour décider qui sera champion. Implacable leaders pendant 28 journées, les Nordistes vont finalement craquer au dernier moment face à la folle remontée des Lyonnais, embarqués sur la route de leur destinée. Une victoire 3-1 et un premier titre de champion de France plus tard, ce match reste à jamais gravé dans les cœurs des différents protagonistes. Pour l’éternité.
Le brassard de capitaine veut-il encore dire quelque chose ?
Le brassard de capitaine veut-il encore dire quelque chose ?
« Mexès ? C’est un défenseur peu sérieux et pas vraiment concentré. C’est triste de le voir capitaine du Milan AC. » L’attaque est signée Boban. S’il était également passé par Sassuolo, le Croate aurait aussi pu en mettre une à Paolo Cannavaro, à peine arrivé et déjà habillé du brassard. Vingt ans après que Diane Tell s’est rêvée capitaine, il était temps de se demander quel rôle joue encore réellement le capitaine.
Au Royaume-Uni, les groupes ultras se comptent sur les doigts de la main. Apparue en 2006, la Green Brigade du Celtic Glasgow est aujourd’hui au plus mal. Retour sur ces quelques semaines qui ont tout changé.
Dans un voyage au bout de l’ennui azuréen, c’est finalement le club princier qui l’a emporté face à Nice grâce à Berbatov. Réduits à dix, les hommes de Claude Puel ont paradoxalement été meilleurs à dix contre onze.
Un match engagé, un match serré, un match fermé. En quête de regain de confiance, Arsenal et Manchester United n’ont pas pu se départager à l’Emirates (0-0). Et c’est Chelsea qui en profite.
Joseph Marie Minala, le Benjamin Button de la Lazio
Joseph Marie Minala, le Benjamin Button de la Lazio
Depuis le derby de Rome dimanche dernier, un nom agite le football italien et les réseaux sociaux du monde entier : Joseph Marie Minala. Plus qu’un nom, c’est un visage. Celui d’un « présu », un footballeur auquel on donnerait dix voire vingt ans de plus. L’histoire d’un jeune homme que l’on regarde « avec des yeux verts ».