Lyon pensait manger des pâtes au ketchup toute la saison, puis est venue l’heure de la gauche caviar. Étincelant sur son couloir, le Lion Henri Bedimo est indomptable. Homme de base de Girard lors du titre de Montpellier, il est la grande satisfaction de Rémi Garde depuis le début de la saison. Focus sur une patte folle.
Un ancien de la Ligue 1 qui régale l’Italie, un gardien en détresse, un latéral gauche capable de faire briller Jimmy Briand et un Mario Balotelli qui avait réservé sa place dès vendredi : l’équipe type du dimanche tient une forme olympique.
Avec huit buts en cinq matchs de Ligue des champions cette saison, le Suédois devrait faire peur à tout le monde. Sauf que le numéro 10 du PSG s’est forgé une sale réputation : quand les matchs comptent, le type ne marque plus. Une sale habitude à laquelle il doit tordre le cou.
France – Ligue 1 – Ce qu’il faut retenir de la 25e journée
La lutte est belle… derrière Paris et Monaco
La lutte est belle… derrière Paris et Monaco
PSG et AS Monaco tranquilles vainqueurs ce week-end, c’est derrière que ça continue de ferrailler sec pour les accessits européens : Lille piétinant toujours, Saint-Étienne et Marseille se neutralisant, la bonne affaire est pour Lyon, avec Reims en invité surprise. En bas de tableau, Guingamp inquiète.
Égal a lui-même, Brandão a frôlé le ridicule avant de planter un but décisif. Fidèle à ce qu’il était, Nkoulou a régalé, tout en sérénité et en maîtrise. Souleymane Diawara, lui, a eu du bol de jouer 90 minutes.
Devant jusqu’au temps additionnel, l’OM s’est fait rejoindre de justesse par Saint-Étienne (1-1), sur un coup de caboche de Brandão. Niveau jeu, ce « palmaresico » ne restera pas dans l’histoire.
Balayés par les Reds en championnat, Arsenal a cette fois réussi à prendre sa revanche devant son public (2-1). Les Gunners se sont qualifiés pour les quarts de finale de la FA Cup au terme d’une rencontre de très haut niveau.
Qu’on se le dise, le stade de Gerland n’a pas vu son équipe franchement galérer pour venir à bout du dernier de Ligue 1. Vainqueur d’un Ajaccio trop faible pour rivaliser (3-1), l’Olympique lyonnais fait le boulot et enchaîne un douzième succès en seize rencontres toutes compétitions confondues. Costaud.
Qu’on se le dise, le stade de Gerland n’a pas vu son équipe franchement galérer pour venir à bout du dernier de Ligue 1. Vainqueur d’un Ajaccio trop faible pour rivaliser (3-1), l’Olympique lyonnais fait le boulot et enchaîne un douzième succès en seize rencontres toutes compétitions confondues. Costaud.