Connaissez-vous Kees van Dongen ? C’est pas un footeux, c’est un peintre hollandais du début XXe dont on peut voir certaines œuvres… au musée de l’Orangerie (Paris) ! Étonnant, non ? Bon, OK, vous vous en foutez, bande d’ignares. Alors enfilez vos chasubles, voici les Pays-Bas 2014.
Quoi qu’on en pense, France – Pays-Bas n’est pas vraiment un classique. Seulement 22 affrontements en plus de 100 ans, et aucun en Coupe du monde. Des roustes du début du XXe siècle au dernier naufrage à l’Euro en passant par le coup franc de Platoche, il y a quand même pas mal de choses à dire sur ce match de fromage.
Après l’avancée des travaux hier dans le J-101, So Foot vous propose à J-100 un état des lieux de la violence au Brésil, entre contestation, mouvements sociaux et bastons autour des stades. Si les militaires présentent une équipe en juin, c’est eux qui auront le plus de spectateurs dans les stades.
«Au Parc, on a vu ce qu’étaient la foi et la ferveur»
«Au Parc, on a vu ce qu’étaient la foi et la ferveur»
Parce qu’il « était important de laisser une trace visuelle » des supporters du PSG, William S. Touitou et Jérôme Bénadiner ont réalisé il y a deux ans le documentaire « Parc ». Ce dernier ressort actuellement, agrémenté d’un second documentaire intitulé « Liberté pour les ultras ». Et parce qu’avant d’être réalisateurs, les deux bougres sont avant tout des supporters du PSG depuis toujours, ils ont forcément des choses à raconter.
Donato : «Le peuple brésilien ne va rien pardonner à Diego Costa»
Donato : «Le peuple brésilien ne va rien pardonner à Diego Costa»
Après Catanha, Donato et Marcos Senna, Diego Costa est le quatrième joueur brésilien naturalisé de l’histoire de la sélection espagnole. Le cas de l’attaquant de l’Atlético Madrid est pourtant unique. Et polémique. Entretien avec Donato autour d’une sélection qui pourrait à elle seule ambiancer le Brésil cet été.
Oh le beau week-end rempli de classiques, de derbys et de confrontations de haut de tableau qui vient de s’écouler ! Avec même une finale en Angleterre. Logique donc de retrouver neuf championnats représentés dans cette belle équipe type.
Peut-être est-ce son parcours atypique qui pousse Romain Hamouma vers une discrétion presque maladive. Grand adepte du « vivons heureux, vivons caché », le Stéphanois ne peut plus se planquer. Après avoir connu bien des galères, le gamin de Franche-Comté est devenu l’une des valeurs sûres de la Ligue 1. Sans faire de bruit, évidemment.
À 101 jours de l’ouverture de la Coupe du monde, petit tour d’horizon des chantiers en cours au Brésil. Oubliez le cancre qui termine sa copie devant la porte, les miettes sous le tapis quand les invités arrivent et l’écriteau peinture fraîche qui fait désordre le soir du vernissage, l’organisation de la Coupe du monde au Brésil a outrepassé ces clichés depuis belle lurette.
Paris a tué le suspens… Ajaccio la descente haut la main…
Si Lucas a manqué de peu le but de l’année, le PSG n’a pas manqué de se rapprocher du titre. Si on connaît presque le champion, on connaît aussi le premier condamné : Ajaccio. Une histoire de main et de pénalty qui a définitivement précipité les Corses en Ligue 2.
Le Brésilien avait des jambes de feu. Accélérations, rateaux, crochets, conduite de balle, une vraie mobylette. Comme à la cité. Dans son sillage, les Parisiens se sont facilement imposés face à des Marseillais volontaires, mais trop limités techniquement