- France
- Ligue 1
- 32e journée
En direct : Monaco – Nantes (3 – 1)
93′ : C’est fini pour ce soir. On va pouvoir se concentrer de nouveau sur le biscuit du printemps: la Champions League. Bonne nuit.
93′ : C’est fini pour ce soir. On va pouvoir se concentrer de nouveau sur le biscuit du printemps: la Champions League. Bonne nuit.
Dans ce match entre retardataires, Valenciennes et Lyon souhaitaient tous les deux se refaire la cerise. Au final, c’est l’OL qui empoche la mise (2-1). Une rencontre maîtrisée par les Gones, même si VA a eu un pénalty pour égaliser à la 86e, au cours de laquelle Bafé Gomis aura claqué son 100e pion en Ligue 1.
94′ : C’est fini ! Liverpool s’impose à West Ham grâce à un doublé de Gerrard sur penalty. Deux …
On annonçait un choc au sommet pour la quatrième place synonyme de C1. On a finalement eu le droit à une démonstration d’Everton. Sur leur pelouse, les Toffees ont sèchement battu Arsenal (3-0). Les Gunners n’ont plus qu’un point d’avance sur leurs adversaires du jour.
Dans une rencontre à l’attractivité limitée, Saint-Étienne a arraché le point du nul grâce à un penalty de Gradel dans les ultimes instants. Une contre-performance comptable, mais un bon résultat au vu de la prestation des Verts.
Si, aujourd’hui, le FC Nantes joue pour sa survie en Ligue 1, les Canaris étaient pourtant partis sur des temps de passage d’un futur Européen. Passer d’une dynamique du haut de tableau en début de saison aux affres de la zone de relégation, une sensation que les Nantais ne sont pas les seuls à éprouver.
94′ : Sur-ce, bon goûter les amis. Bisous.
93′ : C’est terminé à Saint-Etienne. Au final, les Verts s’en tirent plutôt bien avec ce match nul arraché au buzzer. Les Niçois eux, peuvent faire la gueule.
Chaque année, le Brésil délivre à l’Europe son lot de pépites et de bananes. Pendant un certain temps, on s’est demandé de quelle cargaison était issu Philippe Coutinho. Quelques années plus tard, le monde du football et les supporters de Reds peuvent être rassurés : le petit « Pipo » n’était pas dans le cargo Denilson.
Une rencontre de foot, au départ, c’est deux équipes, soit vingt-deux acteurs, prêts à lutter bec et ongles pour sortir vainqueurs du combat. Mais c’est aussi cinq remplaçants, pouvant entrer à tout moment. Parfois même sans avoir eu le temps de s’échauffer préalablement. Vite faire et bien faire, une pression trop grande à gérer ?