Ligue des champions – Finale – Atlético Madrid/Real Madrid
Tu sais que tu détestes le football espagnol quand…
Tu sais que tu détestes le football espagnol quand…
Pour toi, une finale 100% espagnole, c’est un peu comme l’enfer. Ton football, tu l’aimes sans vice, sans dopage et sans conservations de balle à la con. Toi, tu faisais LV1 allemand, comme tous les bons élèves. Toi, tu détestes le football espagnol.
En course pour un doublé aussi sexy qu’historique, les joueurs de l’Atlético Madrid savent d’où ils viennent. Leur ADN est celui d’un loser. Un éternel perdant en passe de prendre une revanche sur la vie. Une revanche sur une saison 1999/2000 restée dans les annales. Oui, il y a 14 ans, l’Atlético Madrid descendait avec une équipe plutôt sexy et après une défaite en finale de la Coupe du Roi. Flashback.
Ce derby final est déjà plein d’histoires. La Primera contre la Décima, Diego Costa le parvenu contre Cristiano le prédestiné, « Cholo » l’intériste et laziale contre « Carletto » le milaniste et romaniste, le duel des héros entre Godín et Ramos, la possible passation de pouvoir entre Casillas et Courtois, les blessés, la suspension dramatique de Xabi Alonso… Un tas d’histoires, donc. Et quelle histoire tactique ?
Sergio Ramos a deux facettes. Meilleur central mondial, qui plus est ultra offensif, pour les uns, défenseur râleur et sanguin pour les autres, il est actuellement dans une forme resplendissante. Retour sur ses terres pour revenir sur le cas Ramos.
De l’art de préparer une finale de Ligue des champions
De l’art de préparer une finale de Ligue des champions
Ce soir, c’est la finale de la Ligue des champions, ce soir c’est aussi la 59e finale de la C1. Pourtant, un peu plus d’un demi-siècle plus tard, la ferveur autour de l’événement est toujours la même. Une passion qui excite, transcende et paralyse même parfois les principaux intéressés. De quoi nous donner l’envie de se plonger dans l’intimité des préparatifs. Entre grosse déconne et mises au vert prolongées.
De la nouvelle recrue du PSG, on connaît : sa touffe de cheveux et ses prises de risque balle au pied. Mais David Luiz est aussi un homme qui aime beaucoup Dieu, les cerfs-volants, les jeux d’arcade, et dont la carrière a été tout sauf un long fleuve tranquille.
L’Atlético peut-il toujours se présenter comme un club de losers?
L’Atlético peut-il toujours se présenter comme un club de losers?
Avant d’atteindre les sommets de la Liga et peut-être de l’Europe, les Colchoneros étaient surtout les plus beaux perdants d’Espagne. Une image qu’ils ont travaillée au point d’être devenue leur image de marque. D’où cette question : avec l’arrivée de la gagne, le club ne serait-il pas amené à bouleverser sa communication ?
Le PSG vient de confirmer qu’un accord avait été trouvé avec le défenseur brésilien et Chelsea pour sa venue en France. Reste maintenant à connaître le prix réel de ce transfert estimé à 50 millions d’euros.
L’équipe type des mauvaises affaires de la Premier League
L’équipe type des mauvaises affaires de la Premier League
En Premier League, on a peut-être beaucoup d’argent, mais on n’a pas toujours que des bonnes idées. Ils devaient casser la baraque cette saison, ils ont déçu un peu, beaucoup, passionnément. Ils forment l’équipe type des flops de la saison.
Pourquoi une finale entre deux clubs d’un même pays fait moins rêver ?
Pourquoi une finale entre deux clubs d’un même pays fait moins rêver ?
Comme la saison dernière, la finale de la Ligue des champions voit s’affronter samedi deux clubs d’un même pays. Après l’Allemagne, c’est au tour de l’Espagne de vibrer pour une affiche locale. Ailleurs, l’impression est plus mitigée. Comme si l’essence même de cette compétition si particulière s’évaporait le temps d’une finale entre compatriotes.