Luis Fernandez : «Je savais exactement où j’allais le tirer»
Luis Fernandez : «Je savais exactement où j’allais le tirer»
Plus que quelques jours avant le début de la Coupe du monde. Enfin ! À cette occasion, So Foot est parti à la rencontre d’anciens joueurs qui ont disputé cette compétition, pour qu’ils nous parlent de leur Coupe du monde à eux. Aujourd’hui, c’est Luis Fernandez qui nous raconte sa Coupe du monde 1986.
Au-delà du « potgate », polémique née en décembre après la composition des pots du tirage au sort de la Coupe du monde de football dont les Bleus ont été les premiers bénéficiaires, de nombreux observateurs criant même au complot, c’est toute la procédure du tirage qui est injuste, car fondamentalement mal conçue. Or, il existe un moyen simple d’y remédier.
L’Angleterre a inventé le foot, mais pas la Coupe du monde. Hormis leur victoire en 1966 à la maison, les Anglais essuient déception sur déception. De préférence aux tirs au but. De quoi débarquer avec une certaine modestie au Brésil.
Ribéry peut-il vraiment jouer avec une lombalgie chronique ?
Ribéry peut-il vraiment jouer avec une lombalgie chronique ?
Que ce soit pour se tenir droit sur sa chaise, jouer à Twister ou ramasser les lettres du Scrabble, le dos reste l’élément essentiel pour la mobilité de chaque homme, et tout dysfonctionnement devient très vite embarrassant. Depuis 6 semaines, la lombalgie chronique de Franck Ribéry est devenue le centre d’attention de toute la France du football. Alors, une bonne fois pour toutes, les Bleus vont-ils partir à 22,5 au Brésil ?
Avec ou sans Suárez ? C’est la question qui agite les 3,5 millions habitants de l’Uruguay. Dans un groupe où elle va croiser deux autres sélections étoilées (Italie et Angleterre), la Celeste aura bien besoin de son avant-centre et gardien d’occasion.
Leur pays s’est qualifié. Ils s’y voyaient. Ils devaient y être. Et puis, une blessure a tout changé. À quelques mois, quelques semaines ou, pire, quelques jours du coup d’envoi du Mondial, ils ont vu leur rêve brésilien s’envoler. Cette équipe type-là ne sera pas au Brésil. Et c’est bien dommage.
Avec ses quatre étoiles sur le maillot, l’Italie arrive au Brésil avec quelques certitudes, mais aussi beaucoup d’incertitudes. Le forfait de dernière minute de Montolivo et la non-convocation de Pepito Rossi ont jeté un voile d’inconnues sur la formation de Cesare Prandelli. Mais finalement, n’est-ce pas lorsqu’elle n’est pas attendue que la Nazionale est la plus redoutable ?
Mircea Lucescu : «Je serai le dernier à abandonner Donetsk»
Mircea Lucescu : «Je serai le dernier à abandonner Donetsk»
Donetsk, à l’extrême est de l’Ukraine, n’a pas résisté longtemps aux actions des pro-russes. La conséquence de l’élection du dimanche 25 mai, propulsant Petro Porochenko au pouvoir. Mircea Lucescu, sentant le vent tourner, a décidé de s’envoler pour l’Italie avant que les premières attaques n’éclatent. L’entraîneur roumain, qui vient de fêter ses dix années au Shakhtar Donetsk, revient sur une période clé de l’histoire ukrainienne.
En Belgique, mater le foot est devenu un acte aussi patriotique que branché. Supporter les Diables rouges en 2014, c’est le pied, pourtant il y a quelques petites années, c’était encore une sacrée purge. Opportunistes récents ou vieux acharnés, la donne est aujourd’hui la même pour tous, à cela près que les seconds sont en manque depuis douze ans. Douze ans !
On affirme souvent que les footballeurs ne savent pas écrire. Faux : ils écrivent avec des fautes d’orthographe. Durant la Coupe du monde, un stagiaire du service courrier collectionne les timbres exotiques et intercepte les meilleures lettres envoyées aux sélections. Aujourd’hui : Samir Nasri.