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92′ : C’est terminé sur ce petit 0-0 entre Nigérians et Iraniens, le premier de la compétition. …

Auteur d’un triplé et d’une prestation splendide, Thomas Müller a déjà marqué la Coupe du monde 2014 de sa frêle empreinte. Costaud, le reste de la Mannschaft a eu affaire à une équipe portugaise très décevante, à l’image d’un Cristiano Ronaldo extrêmement frustré.

Après 90 minutes de football éclair, l’Allemagne perpétue sa domination (4-0) sur le Portugal en compétition internationale. Venu en boîtant mais pour gagner, Cristiano n’a rien pu faire et a dû se contenter d’assister de loin à la démonstration de Götze, Özil, Müller and friends.

93′ : C’est fini. L’Allemagne étrille le Portugal 4-0. Des Portugais qui devront faire sans probablement faire sans Almeida, Coentrao et Pepe pour le prochain match. Le Ghana et les Etats-Unis sourient.

Où l’on apprendra que le citron donne des aphtes… Ce qu’il y a vraiment sur une broche de kebab… Et qu’un Turc ne chiale pas.

Solide vainqueur du Honduras (3-0) pour son premier match du Mondial, la France a déjà certaines certitudes en tête avant le deuxième match contre la Suisse. Cela dit, tout n’est pas parfait. Pas encore.

Rien ne se crée. Tout se transforme. Le credo est plus que jamais vrai pour l’Allemagne et le Portugal. Entre leur rencontre du 10 juin 2012 à l’Euro et ce match de Coupe du monde 2014, les deux sélections n’ont pas véritablement de nouveautés à apporter, seulement des ajustements. Alors deux ans après, pour ouvrir leur compétition, faut-il s’attendre à un remake ou à une revanche des Portugais ?

Depuis l’Euro 2000, le Portugal a connu deux demi-finales et une finale de championnat d’Europe des nations, ainsi qu’une quatrième place en Coupe du monde. Pourtant, à l’heure de croiser le fer avec l’Allemagne, les potes de Cristiano Ronaldo sont bien les seuls à croire en leur succès. Pourquoi ?

Le Nigeria, c’est des attaquants ultra-rapides, un maillot vert bien stylé et un titre de champion olympique en 1996. Bref, la quintessence du football africain. Mais pas que…

Dans la ville du forum social et de Lula, Karim Benzema n’a pas été dans le partage. Deux buts, presque trois pour lui. Le patron des Bleus habite au dix.