- Coupe du monde 2014
- Groupe B
En direct : Australie – Pays-Bas (2 – 3)
93′ : Merci à Tim Cahill et vive le foot. A vous les studios.
93′ : Merci à Tim Cahill et vive le foot. A vous les studios.
On y est. Après avoir subi le premier match de tout le monde, l’histoire peut reprendre le dessus. Le deuxième acte est toujours le plus important. Parce que c’est celui qui ne pardonne pas.
Pas de sexe, pas d’alcool, pas de clopes : l’idée que les sportifs doivent vivre en ascètes lors d’une grande compétition est largement répandue. La récente victoire des Pays-Bas face à l’Espagne indique pourtant le contraire. Vrai contre-exemple ou exception qui confirme la règle ?
Censée faire mousser les tireurs de coups francs, la petite bombe magique à tracer des lignes blanches n’a eu aucune efficacité : zéro but sur coups francs directs depuis ce début de Mondial…
Séduisant offensivement contre le Honduras, Patrice Évra a largement participé à la bonne prestation de son équipe. Leader de vestiaire, le protégé de Deschamps est respecté par ses coéquipiers pour son expérience et sa maturité. Aujourd’hui, pour le meilleur ou pour le pire, le latéral de Manchester est incontournable en équipe de France. N’en déplaise à beaucoup.
Des buts, du spectacle et pas mal de plaisir ; ce début de tournoi sous le soleil d’hiver du Brésil ne déçoit pas. Après avoir vu toutes les équipes, l’heure est venue de tirer un premier bilan et de se poser les vraies questions. Et les autres aussi.
Coincé dans le trafic de Fortaleza, Pelé n’a pu assister au début du deuxième match de la Seleção. Là, au Brésil, le GPS peut vite se muer en poste de télévision. Mais pour toi, l’écran est trop petit. Comme Pelé, qui n’avait plus fait ça depuis 1950, tu portes une affection pour ce qu’on appelle les ondes. Tu sais que tu as écouté du foot à la radio quand…
Ligne 4, un pont, deux boulevards et des fans de football par milliers. Après le match d’hier soir entre Fennecs et Diables rouges, une petite partie de la communauté algérienne de Paris s’est rassemblée du côté du XVIIIe arrondissement pour festoyer et lancer quelques fumigènes. On y était, on vous raconte.
L’homme sans qui le Mexique n’aurait sans doute pas tenu en échec le Brésil aurait pu assister au match depuis le banc, voire depuis son lieu de vacances. Cela peut sembler étrange aux assidus de la Ligue 1, mais Memo Ochoa a longtemps été considéré comme un outsider dans la course à la titularisation pour le Mondial. Explications.
Comme en 2010 et en 2012, l’Espagne est déjà à la peine dans sa poule et doit absolument gagner contre le Chili pour oublier la raclée néerlandaise et poursuivre son aventure brésilienne. Plus qu’une question d’honneur, c’est bien un gentleman agreement qui est en jeu aujourd’hui au Maracanã. Explications.