Alfredo Di Stéfano a quitté le monde des vivants en plein Mondial. L’Espagne n’en finit plus de tourner des pages et de se mettre à pleurer. Le vieil homme est mort, mais Di Stéfano restera le plus grand.
En attendant Zico – Épisode 8 : Le mystérieux coach de Zico
En attendant Zico – Épisode 8 : Le mystérieux coach de Zico
Où l’on va rencontrer Candido, l’ancien maître à penser de Zico qui vit désormais sur une plage déserte. JB surmontera-t-il les épreuves de l’entraîneur brésilien ?
On a tout fait pour éloigner le moment où on ne ressentirait plus rien. Les demi-finales arrivant, il faut se rendre à l’évidence, c’est la fin qui commence. Il est temps de redevenir neutre.
Pour arracher la qualification face au Costa Rica de l’intouchable Keylor Navas, il fallait tenter un coup de poker un peu fou. Ce que Louis van Gaal n’a pas hésité à faire en sortant du banc l’un de ses portiers remplaçants pour la séance de tirs au but. Deux arrêts et quelques provocations plus tard, Tim Krul est devenu l’inattendu héros du peuple oranje. Mais nom d’une pipe, qui est ce sauveur de la nation ?
Que le Brésil gagne ou perde contre l’Allemagne, il devra jouer ses deux prochains matchs sans Neymar, sorti sur blessure contre la Colombie. De quoi être pessimiste pour la Seleção, car les options de rechange ne sont pas nombreuses…
Un passeport, un parent ou même une ancienne conquête. Tous les amoureux du ballon rond ont une raison plus ou moins valable pour avoir le cœur bicolore pendant une Coupe du monde. Mais peut-on vraiment vibrer pour deux équipes nationales ?
Top 5 : Les matchs mythiques de la Nationalmannschaft
Top 5 : Les matchs mythiques de la Nationalmannschaft
Voilà 60 ans que l’Allemagne s’invite régulièrement au moins en quart de finale de Coupe du monde, ce qui en fait la nation européenne la plus régulière à ce niveau. La Nationalmannschaft en a profité pour jouer des rencontres complètement dingues, qui sont restées dans l’histoire de la compétition. Une place dans le générique, ça se mérite.
Il ne se lève que très rarement de son siège pour transmettre ses consignes. Il a une allure de prof d’université quand il note d’interminables remarques sur son carnet posé devant lui. Van Gaal n’entraîne pas, il instruit.
On l’a attendu, mais le problème, c’est qu’il n’est jamais venu. Le Messie, celui dont tout le monde pensait que c’était sa Coupe du monde, au moins son match. Ben non. Contre l’Argentine du vrai Messi, Eden Hazard a une nouvelle fois été invisible ou presque. À l’image d’un Mondial traversé sur la pointe des pieds. Sans émoi ni frisson.