Le point mensuel des championnats mineurs européens, avec un Celtic pas encore lancé, un Anderlecht déjà en tête, un Standard dans le dur, un Bâle sans concurrence en Suisse, un Valbuena décisif avec le Dynamo et un Shakhtar pas perturbé par un contexte extra-sportif compliqué en Ukraine.
L’espoir, puis la désillusion. Propulsés en phase de poules de la Ligue des champions grâce à l’ouverture du score de Marek Hamšík, les joueurs du Napoli ont craqué. Battus logiquement 3 à 1 sur la pelouse de San Mamés, les Italiens joueront la Ligue Europa.
Comme d’habitude, Arsenal est passé par un tour préliminaire pour accéder à la Ligue des champions. Comme d’habitude, les Gunners se sont qualifiés au terme d’un match déjà oublié.
95′ : Plein de tacles, pleins cartons, une Buche tout énervée suite à son rouge et un Emirates tout heureux, à défaut d’avoir vu du beau jeu on aura pas mal vibré ce soir à l’Emirates. Merci beaucoup à Mr Proença, un des meilleurs acteurs de ce match. Merci aussi à Wilshere. Définitivement le meilleur Gunner depuis bien longtemps. On se retrouve demain pour un tirage au sort tout feu, tout flamme!
93′ : Driiit, driiiit, driiiiiit! L’Athletic Bilbao se qualifie pour la C1 pour la première fois depuis 16 ans. La hype Naples peut officiellement prendre fin.
Après des semaines de négociations, d’appels, d’arguments et de sueur, le club de Luzenac, promu sportivement en Ligue 2 suite à une saison 2013-2014 complètement folle, s’est une nouvelle fois vu refuser son accession dans l’antichambre de l’élite.
Olivier Giroud indisponible pour 3 mois, Arsenal voit une nouvelle fois se remplir son infirmerie, comme une sorte de tradition. Entre bris d’os et pépins idiots, retour sur une décennie de malheur.
Rafa Benítez, itinéraire d’un professeur à problèmes
Rafa Benítez, itinéraire d’un professeur à problèmes
Sacré entraîneur le plus doué de sa génération par Arrigo Sacchi, le coach espagnol a rarement su faire les bons choix aux bons moments. Un souci de timing qui l’a ralenti dans la course qui l’opposait à José Mourinho et Carlo Ancelotti, entre autres.
Depuis sa création, l’Athletic Bilbao est étiqueté « produit régional ». Une spécificité qui fait son charme, mais dont le club a également dû se jouer. Pour exister à l’échelle nationale, et aujourd’hui continentale, ses principes ont été changés à défaut d’être bafoués. Explications.