Que ce soit au Roudourou, au soir de la troisième journée, ou à Gerland, pour un énorme choc, Marcelo Bielsa conserve le même onze type. Adepte du « on ne change pas une équipe qui gagne », l’Argentin modifie peu et gagne beaucoup. Jusqu’à quand ?
94′ : Un match laborieux, un live laborieux. On se retrouvera bientôt dans de (bien) meilleures conditions. Bises les artistes. On vous aime !
93′ : Trut-trut-truuuuut ! C’est terminé à Saint-Etienne avec la petite mais importante victoire des Verts grâce à Gradel, joueur le plus actif du match. Metz a longtemps tenu et essayé d’exploiter quelques contres mais c’est globalement largement mérité comme score. Bonne soirée à vous, bisous bisous.
Deux accélérations de Ntep en début de deuxième mi-temps auront permis à Rennes de taper un Lille qui ne sait plus gagner (2-0).
Pendant que le reste du monde se plie à une logique plus économique ou marketing que sportive, les Blues ne suivent que le bon sens de José Mourinho. Parce qu’il y a une justice, cela fonctionne à merveille.
94′ : Le LOSC ne marque plus, pire Lille ne se crée même plus d?occasions. Rennes s?est donc fait plaisir et Paul Georges Ntep s?est découvert une ressemblance troublante avec Cristiano Ronaldo. Pendant 20 minutes. Suffisant pour faire la misère à cette équipe en bois.
Le Borussia Mönchengladbach, deuxième, reçoit le leader incontestable de la Bundesliga, le Bayern Munich. Un duel au sommet qui fleure bon les années de cheveux longs, pantalons pattes d’eph et autres looks bariolés : les 70s. Ce temps où les deux étaient les meilleurs concurrents du monde.
Bien parti, le FC Barcelone s’est fait rejoindre sur un penalty de Ronaldo avant de laisser le Real Madrid prendre logiquement le large. Retour sur un Clásico qui a une nouvelle fois offert un spectacle de dingues.
En perdant en Grèce, mercredi, face à l’Olympiakos, la Juve a réitéré l’exploit de l’an dernier : se mettre en danger dans un groupe où elle semblait presque favorite. Brillant en championnat, désolant en C1, le triple champion d’Italie se pose aujourd’hui comme l’anti-Dortmund. Un drôle de mal qui mérite qu’on s’y attarde.
Le Real Madrid aurait pu finir par l’emporter 6-1. Mais le Barça aurait pu aussi mener 0-2 au bout d’une vingtaine de minutes. Alors, faut-il vraiment se concentrer sur le résultat final ? Carlo Ancelotti et Luis Enrique ne vont-ils pas retenir autre chose que le gain et la perte de trois points ce soir ?