Et si le Portugal remportait l’Euro en jouant à la grecque ?
Et si le Portugal remportait l’Euro en jouant à la grecque ?
Le Portugal va bien. Contre la Serbie (1-2), la Selecção das Quinas a enregistré sa septième victoire de rang en matchs officiels. Elle sera tête de série en France. Voire peut-être plus. Le tout, grâce à un jeu pas très sexy, mais plutôt efficace. Un jeu à la grecque, quoi.
La nouvelle formule de l’Euro à 24 qualifie près de la moitié des affiliés à l’UEFA. Une aubaine qu’ont laissé échapper certaines nations de faire leurs débuts ou leurs retours sur grand plateau. Même par les barrages.
Mais pourquoi Vargas est-il aussi fort en sélection ?
Mais pourquoi Vargas est-il aussi fort en sélection ?
23 buts en 49 sélections, une place de titulaire indiscutable aux yeux de Sampaoli, et une entente parfaite avec Alexis Sánchez. Eduardo Vargas vient titiller Medel et compagnie au rang d’idole nationale. Pourtant, sa carrière en club est un échec.
Sans trembler le moins du monde, l’Italie a validé sa qualification pour l’Euro ce week-end en Azerbaïdjan. Une bonne habitude pour la Nazionale qui n’a plus perdu le moindre match éliminatoire depuis plus de neuf ans.
On les imagine riches comme Crésus, avares, requins, prêts à tout pour quelques billets de plus, bien loin de se soucier des intérêts de leurs joueurs. Pourtant la réalité du métier d’agent est bien différente de celle dépeinte par une presse qui se concentre quasi-exclusivement sur quelques sulfureux personnages. Ces marchands de tapis qui ruinent l’image de la profession au détriment de ceux qui se battent pour la légitimer.
Entre vraies illusions et fausses certitudes des matchs amicaux, Didier Deschamps donne tant bien que mal l’impression d’avancer. Dimanche soir, ses remplaçants ont rappelé que l’essentiel n’est pas de trouver une équipe type, mais de bâtir un groupe.
Victorieuse de l’Euro il y a de ça trois ans, la sélection espagnole retrouve Kiev pour y conclure sa campagne de qualification. Un espace-temps durant lequel la Roja a connu plus de pépins que de succès. État des lieux d’une Espagne qui, loin d’avoir évacué ses doutes, s’avance sûre d’elle-même.
À force de dribbler le monde comme des plots, Messi croyait déborder tranquillement le fisc espagnol. Mais le Barcelonais risque bien 22 mois à l’ombre. Voici quelques bonnes raisons de le voir croupir derrière les barreaux.
Devenu monument national après avoir détrôné Charlton, Wayne Rooney a déclaré forfait pour le déplacement en Lituanie. L’attaquant ne brille plus autant qu’avant et son statut ne suffit plus à masquer des insuffisances de plus en plus criantes.
Adriano Galliani continue de faire la pluie et le mauvais temps sur le Milan, qui galère encore, triste 11e avec 9 points en 7 journées et déjà 4 défaites au compteur. Pour encore remercier un entraîneur ?