Jorge Mendes n’est pas né avec un portable greffé à l’oreille. Avant de devenir l’agent le plus puissant de la planète foot, le patron de Gestifute a tenté de percer crampons aux pieds. Mais entre un talent limité et des nuits trop courtes, Jorge n’est jamais allé plus haut que la D3 portugaise.
La 30e grande fête du continent africain, qui se déroulera du 17 janvier au 8 février prochains, a livré son plan de table. Au menu, de gros chocs dans le groupe C, estampillé « groupe de la mort », mais aussi dans le groupe D, avec notamment deux pachydermes. Le groupe B est un peu moins relevé, mais tout aussi homogène, tout comme le groupe A, qui constitue néanmoins la poule la plus faible de ce tournoi. Bon appétit !
Auteurs d’une relecture poétique d’Alice au pays des merveilles, Oxmo Puccino et Ibrahim Maalouf ne sont pas de ceux qui connaissent la couleur du slip de Basile Boli en 1993 ou la tactique mise en place par Aimé Jacquet en 1998.
À écouter médias et observateurs locaux, ce nouveau championnat indien créé de toutes pièces à coups de millions de dollars est une énorme réussite populaire. Exagéré ? Très largement…
Un but contre son camp du portier italien du PSG empêche son club de revenir du Nord avec les trois points. En face, Enyeama a été solide. Comme d’habitude.
Paris ne signera pas la même série de 11 victoires de rang qu’en fin de saison passée et laisse le leadership à l’OM. Le PSG aurait même pu perdre plus face à un LOSC nettement plus enjoué que d’habitude (1-1).
Les Gunners s’imposent en fin de match contre Southampton (1-0) grâce à l’attaquant français qui a métamorphosé son équipe en 25 minutes.
Pas de surprise pour la 16e journée de Ligue 1. Tout en haut, Saint-Étienne et Rennes maintiennent leur dynamique, tandis qu’en bas, Caen et Bastia sombrent. Guingamp, lui, respire un peu.
93′ : Et c’est fi-NI ! Match pas vilain du tout à Pierre-Mauroy et score de parité globalement logique. Ce sont les Marseillais qui doivent être contents de ce résultat qui leur permet de rester en tête de la L1. Lille prend un point important dans la course au maintien et se rassure un peu dans le jeu. Bisous les ptits loups, à très bientôt.
Norberto Alonso était le troisième numéro 10 du football argentin des 70s et 80s. Passé brièvement par l’OM, il attend la consécration continentale de son River, ce mercredi soir, en finale d’une Copa Sudamericana que le club n’a jamais remportée.