- Italie
- Serie A
- 8e journée
Revivez Inter Milan – Juventus Turin
93′ : C’est tout pour ce soir les ptérodactyles. Bonne soirée, et à plus tard. Ciao!
93′ : C’est tout pour ce soir les ptérodactyles. Bonne soirée, et à plus tard. Ciao!
Arrivé sur la pointe des pieds à Turin cet été, Juan Cuadrado s’est déjà installé dans le onze type de la Juve, contraignant même son entraîneur à changer de schéma de jeu. Maintenant, il va falloir penser à le racheter à Chelsea pour compléter ce joli coup.
Dans un match globalement fermé et très pauvre en occasions, Bordelais et Montpelliérains n’auront pas su se départager, se quittant sur un triste mais logique 0-0.
Dominateur, notamment en première période, l’OM n’est pas parvenu à venir à bout de Lorient. Entre ratés et maladresses offensives, les hommes de Michel se contentent d’un match nul sans saveur, marqué par un penalty de Michy et une charette de Nkoulou.
Après une deuxième période éblouissante, le Napoli parvient à faire tomber le leader florentin au San Paolo (2-1). Insigne et Higuaín ont encore fait parler la poudre et les Azzurri se présentent de plus en plus comme de très sérieux candidats au Scudetto.
Cet été, Stevan Jovetić est revenu en Italie avec humilité pour oublier ses deux demi-saisons anglaises. Avec lui sur le terrain, l’Inter a gagné tous ses matchs. Sans lui, elle a arraché un petit point en deux rencontres.
93′ : C’est fini, et c’est tant mieux. Bonne soirée à tous, et merci pour le soutien !
Depuis août 2014, Antoine Griezmann enchante le Vicente-Calderón. Une réussite sportive chez les Colchoneros qui n’étonne guère : à l’été 2011, il était déjà sur les tablettes de l’Atlético. Un épisode qui, après l’avoir inquiété, l’a fait grandir.
93′ : ET C’EST TERMINÉ ! L’OM concède donc un match nul évitable à domicile face à Lorient. Dominateurs, les Marseillais auront finalement craqué sur une erreur défensive grotesque. À un point seulement de Toulouse, 17e, l’OM continue de connaître une saison plus que compliquée. Merci de nous avoir suivi. Vous êtes de belles personnes.
Alors qu’Arrigo Sacchi justifiait le semi-échec de Benítez par une absence de mentalité de gagneurs à Naples, Maurizio Sarri reste sur 5 victoires en 6 matchs, en bouleversant les schémas. Entre 4-3-3, trequartista et coups de pied arrêtés.