Si Pardew a en grande partie construit sa carrière d’entraîneur chez les Magpies, c’est aux Vitriers qu’il doit sa carrière de joueur professionnel, avec une finale de Cup en 1990.
93′ : Allez, on remballe les ballons ! C’est terminé sur ce score fleuve qui n’occulte en rien un match un peu terne. Quelques coups de boule, un penalty de Martial et l’ASM tient sa qualif’. Côté Rennais, c’était bien tristoune… Je vous laisse ici et ça tombe bien, puisque le vrai choc entre Paris et Nantes commence dans 5 minutes. Des bisous.
Longtemps impuissants, les Guingampais auront attendu la dernière seconde du temps réglementaire pour égaliser avant de faire la différence dans la prolongation, 3-1. Pas très joli, mais suffisant pour voir les quarts de finale de la Coupe de France.
Comme à leur habitude, les instances africaines ont fait un peu n’importe quoi au moment de désigner l’équipe type du tournoi en Guinée équatoriale avec un meilleur joueur, Christian Atsu, qui n’est pas dans le onze de la compétition. Autant donc basculer sur ce onze, garanti sans copinage ni pression.
PSG-Nantes au Parc des Princes en Coupe de France, c’est tout sauf une première. En 1993, cette affiche était même une finale. À l’arrivée, ce fut une boucherie.
Andrés Iniesta a toujours été un secret. Lors de l’ascension du Barça de Pep Guardiola, il était celui dont on ne parlait pas assez. Aujourd’hui, dans le processus de création d’un Barça aux idées de jeu différentes, il est secrètement devenu dispensable. Après 14 matchs de Liga, le secret devient difficile à cacher : 0 but, 0 passe décisive.
Avant même la mise en place de la ligne à grande vitesse Nantes-Paris, les joueurs du FC Nantes ont souvent pris la route jusqu’à la capitale. Un parcours semé d’embûches dont peu ont réussi à sortir avec brio. Le Canari vit mal à Paris.
Les peuples acceptent l’austérité quand elle promet un rétablissement de la croissance. Or, à l’AS Monaco, les sous-investissements dans le jeu offensif ont conduit vers une lente récession généralisée. Bougez-vous, les Asémistes, ou on vous envoie le FMI !
Après des mois de réflexions et de tractations, Marco Reus a fini par faire un choix : celui de prolonger au Borussia Dortmund, le club de son cœur. Une décision qui le place dans cette catégorie rare de joueurs qui préfèrent rester que partir.