Balayé par un Schalke 04 des grands soirs, le Real Madrid ne doit sa qualification qu’à une courte défaite et aux apparitions sporadiques de Ronaldo et Benzema (3-4).
94′ : La vache ! C’est fini à Bernabeu sous les sifflets ! Quel match les loulous, quel match ! Schalke n’était pas loin de l’exploit, mais a manqué d’un dernier but, et surtout d’un bon marquage pour se l’offrir. Les dieux du football se sont ce soir penchés à Madrid, et c’était bon, très bon. On vous laisse ici les loulous, on va se racheter un coeur. Merci à tous, et bonne soirée. Même s’il sera difficile de faire mieux que ça.
Angél Di María était sans doute excédé, mais il a surtout braqué tous les regards sur lui au moment de sa sortie d’Old Trafford, après une expulsion grotesque pour protestation. Comme Fideo, d’autres joueurs sont tombés dans le vice d’une expulsion ridicule. Et pas des moindres.
Idole de Bernabéu, puis de la Veltins Arena, nul doute que même depuis New York, lui qui a rejoint le Cosmos cet hiver, Raúl sera devant un écran, ce soir. Après quoi il reprendra ses crampons pour marquer des pions en D2 nord-américaine et aussi s’occuper d’une académie de jeunes. Un peu comme le Snake.
Latéral droit le plus hype du moment, Danilo affole le marché des transferts autant que les couloirs droits portugais et européens. Présentation d’un marathonien hors pair qui, à seulement 23 ans, a déjà le monde entier à ses pieds.
Ronaldo à Fort Lauderdale, sur les traces de George Best
Ronaldo à Fort Lauderdale, sur les traces de George Best
Jouera, jouera pas ? Ronaldo laisse planer la rumeur concernant son éventuel retour à la compétition cette année pour disputer une poignée de matchs dans une ligue mineure nord-américaine avec l’équipe de Fort Lauderdale.
Couvé depuis son arrivée au Real Madrid, Raphaël Varane sort du bois. Mécontent de sa situation personnelle, le central français a fait de son rôle de troisième couteau une fatalité.
Alors qu’il sort tout juste de trois longues années et demie en D2 et d’une promotion gagnée à l’arrache, Huracán se retrouve à jouer la Copa Libertadores avec ce qui se fait de mieux en Amérique latine. Et surprise, il le fait très bien.
Coéquipier un petit mois durant, Toni Kroos et Xabi Alonso ont échangé de vestiaires l’été dernier. Relève du Basque sur le paperboard d’Ancelotti, l’Allemand, loin d’être un flop, est l’illustration des maux merengues. Merci qui ? Merci patron.