À peine considéré comme un attaquant prometteur de Ligue 1 il y a deux ans, Vincent Aboubakar s’apprête aujourd’hui à affronter le Bayern Munich, qui plus est avec le costume de titulaire. Qui l’eût cru ?
En 1987, le Bayern Munich et le FC Porto se sont déjà échangés des amabilités en finale de C1. C’était à Vienne et, ce soir-là, les Portugais sont revenus de nulle part, alors qu’ils étaient menés et à la rue à la pause.
Nouvel homme fort de la politique sportive blaugrana, Ariedo Braida n’en demeure pas moins des plus discrets. Surtout, la venue de l’ancien dirigeant du grand Milan rappelle la stratégie d’un autre molosse européen : celle du PSG de Leonardo.
Jardim et ses soldats avaient tout bien fait, du plan de jeu parfait à sa réalisation, et se sont inclinés par manque de chance plutôt que par manque de qualités. Un bilan gratifiant pour une ASM limitée, mais pas forcément inquiétant pour la Juve.
Si Yacine Brahimi faisait des étincelles à Grenade, il a déclenché un véritable incendie au FC Porto cette saison. Pourtant, avant d’aller flamber en Liga, puis en Liga Sagres, l’Algérien avait fait l’effet d’un pétard mouillé au Stade rennais.
À 28 ans, Salvatore Sirigu est à un tournant de sa carrière. S’il veut combler l’écart qui le sépare des meilleurs du poste, il doit sortir un gros match sur la scène européenne.
Emmenée par un Abdennour de gala, l’ASM a longtemps cru à l’exploit à Turin. Mais en face, l’expérience de Buffon, l’activité de Marchisio et la petite touche de vice de Morata ont fait la différence. À l’italienne.
Dans une rencontre tenant plutôt du combat de rue que du football, Mario et Sergio se sont rendu coup sur coup, mais c’est le Croate qui a versé le premier sang. Parfois, Carjaval, Gabi et Mario Suárez sont aussi venus mettre des coups de latte, pour le plaisir de la castagne.
Un derby de Madrid sans spectacle, pas sans suspense
Un derby de Madrid sans spectacle, pas sans suspense
Dans un combat plus tactique que technique, l’Atlético, pas malheureux, et le Real, dominateur mais tombé face à un os nommé Oblak, se quittent dos à dos. Un score nul et vierge qui promet un match retour bouillant.
Clairement favoris, les joueurs de la Juve sont venus à bout de l’AS Monaco grâce à un penalty d’Arturo Vidal en seconde période. Toujours aussi bien regroupés derrière, les joueurs de l’ASM vont devoir tenter des trucs fous pour se qualifier au retour.