Parmi les onze clubs qu’il a connus dans sa carrière, Bruno Rodríguez a notamment porté les couleurs du PSG et de Metz. Entre boulangerie, équipe de France et regrets éternels, Bruno livre une interview plaisir.
Ce mardi soir, le derby basque opposant l’Athlétic Bilbao à la Real Sociedad va secouer cette région paisible. Voici vingt-huit bonnes raisons de ne pas rater cet événement.
Le PSG se chercherait un gardien pour l’an prochain. Principale cible évoquée, Petr Čech, second de Courtois à Chelsea, et qui affiche une trentaine bien tassée. Mais au fond, est-ce une bonne idée de faire venir un vieux gardien du temple ?
Liverpool peut profiter de ce match en retard face à Hull pour revenir à quatre points de la quatrième place, synonyme de C1. En attendant le dénouement de la saison, retour sur un exercice déjà classé dans la catégorie « saison de transition ».
Mario Götze, Mats Hummels et Robert Lewandowski ont un point commun : celui d’avoir porté les maillots du Bayern Munich et du Borussia Dortmund. Avant eux, une dizaine de joueurs l’ont fait, et pas des moindres.
Aujourd’hui, le PSG grandit saison après saison. Mais quand l’on regarde la liste des entraîneurs à fort potentiel d’identification, l’option numéro un est plutôt inattendue…
En entrant en jeu face à l’Espanyol, Xavi Hernández a honoré sa 500e apparition en Liga. Toutes sous les couleurs blaugrana, elles lui permettent d’entrer dans un cercle très fermé. Espérons seulement que le Pelopo ne fasse pas ses adieux dès la fin de saison.
Raul Meireles, fashion victim du foot mondial aujourd’hui au Fener, se dévoile, parle de sa mère, donne ses conseils mode pour un entretien d’embauche et se souvient aussi des frissons d’Anfield. Un beau tour du propriétaire.
Rasé en 2003 pour laisser place à l’actuel Wembley, le mythique stade des finales de la Coupe du monde 1966 et de l’Euro 1996 a été inauguré il y a très exactement 92 ans par un match de FA Cup disputée sous les yeux de 300 000 personnes, du roi George V et de Billie, un fameux cheval blanc.
Jusqu’au déplacement à Barcelone, le PSG était l’équipe d’Ibra. Maintenant, le monde entier sait que Paris appartient à un Italien d’1,65 m, aux yeux clairs et à la frappe de balle dégueulasse. Place à l’ère Marco Verratti. Et ça, c’est génial.