Après la première bataille gagnée par Boca Juniors en championnat, les deux équipes se retrouvaient en huitième de finale aller de la Copa Libertadores. River emporte la première manche grâce à un but de l’Uruguayen Carlos Sánchez.
Dans son antre bouillant, le FC Séville est parvenu à sortir largement vainqueur de ce premier duel face à la Fiorentina (3-0). Un très gros premier pas vers la finale pour les Andalous.
Ultra-dominateur face à de courageux Ukrainiens, le Napoli doit se contenter du match nul (1-1). Une bien mauvaise opération pour les Azzurri qui se sont heurtés à un excellent Denys Boyko et qui ont concédé une égalisation plus que discutable.
95′ : TERMINADO ! Séville fait un grand pas vers la finale de Varsovie, un peu comme le Barça hier en fait. L’Espagne et Banega dominent l’Europe, le monde. A bientôt messieurs, un plaisir d’être à vos côtés. Toujours.
95′ : En attendant c’est fini ! Après 45 minutes bien chiantes, Naples pensait avoir fait le plus dur en ouvrant le score mais n’a pas réussi à plus concrétiser sa domination et a vu son adversaire égaliser sur un hors jeu flagrant. La qualif va se jouer au retour et ça promet d’être saignant. Bisous les poteaux, je vous retrouve dimanche a priori. En attendant bon weekend prolongé.
Il y a très exactement neuf ans se disputait le dernier match officiel au sein d’Highbury, antre des Gunners avant qu’ils ne s’installent à l’Emirates Stadium. Un adieu youplaboum avec une large victoire, un triplé d’Henry et une qualification européenne. Souvenirs…
Les vraies questions existentielles du football – Épisode 16
Les questions les plus bêtes sont parfois, souvent, les meilleures. Sofoot.com a décidé, tous les jeudis, de répondre à trois interrogations fondamentales de tout amoureux de la balle ronde et même des néophytes.
Il est le héros inattendu du premier opus de la trilogie des Boca-River. À 19 ans, Cristian Pavón vient d’inscrire son nom au panthéon des Superclásicos et, surtout, de lancer sa carrière xeneize d’une belle manière.
Crucifié sur la croix des Internets, Jérôme Boateng n’est aujourd’hui plus qu’un meme. Mais c’était surtout un grand joueur, défendant courageusement son bien loin de chez lui sans forcément comprendre pourquoi.
Ses 4 matchs de suspension ont fait office de rappel : à 28 ans, Jérémy Ménez a du feu dans les pieds, mais aussi une tendance à disjoncter comme un ado rebelle. Ce qui ne risque pas de changer. Bon anniversaire Jérémy.