2013 portait la marque d’Ancelotti, 2014 celui de la maîtrise et du jeu, le titre de 2015 du PSG est avant tout collectif. Celui d’une équipe qui n’a jamais basculé du côté obscur malgré les blessures, les méformes et le parcours des deux Olympiques.
Danny Welbeck, blessé au genou, ne sera pas du voyage avec Arsenal. Parti de Manchester United l’été dernier pour s’épanouir au poste d’avant-centre, l’attaquant anglais n’a toujours pas pris l’envol escompté.
95′ : Allez, c’est terminé, City s’impose dans la difficulté, mais prend quand même les trois points. Bisous les loulous.
Avant chaque rencontre au Sánchez-Pizjuán, le même refrain. À l’unisson et a cappella, le peuple sevillista reprend comme un seul homme l’hymne del Centenario du club. Un moment rare et intense qui illustre la ferveur des supporters des Palanganas.
Le point commun entre le monstre de Frankenstein, le motoriste Audi et les Illuminati ? La ville d’Ingolstadt, en Bavière, dont le club de football devrait se hisser pour la première fois de sa jeune histoire en Bundesliga.
Le premier croit encore au titre, le deuxième doit assurer ses chances d’être européen. Grâce aux play-offs belges, ces deux équipes toutes deux moribondes à un moment donné de la saison peuvent encore la sauver…
Alors que sa réception du Barça a tout de la passation de pouvoir, le toujours champion en titre de Liga se montre optimiste. Avec une 3e place presque assurée, l’Atlético Madrid envisage l’avenir avec le sourire, car il a réussi sa transition.
De 1996 à 2004, Arsenal et Manchester United étaient les deux meilleures équipes du Royaume. Jusqu’à l’arrivée de Roman Abramovitch à Chelsea, premier riche étranger à investir dans le football anglais.
Joueur majeur d’Arsenal avant de rejoindre Manchester United à l’été 2012, Robin van Persie n’était pas grand-chose à son arrivée à Londres en 2004 : un grand talent certes, mais surtout un rebelle mis de côté par le Feyenoord.
Avec une qualification directe en C1 pour l’Atlético, et une place en C3 à aller chercher pour l’Espanyol, ces deux clubs ont gros à jouer face au Barça et au Real. Pourtant, la tentation de « fausser » la Liga plane sur ces deux rencontres entre Castille et Catalogne.