Dominée de la tête et des épaules par une Belgique taille patron, la France rend une copie brouillonne, notamment défensive. Valbuena, Ntep, Fekir ou Matuidi ont empêché le naufrage. Côté belge, il fallait être chevelu pour briller à Saint-Denis.
L’équipe de France se ramasse sévèrement contre la Belgique (3-4) au stade de France en amical. Un prétexte en or pour que Deschamps puisse pousser une gueulante. Mais on est le 7 juin et ça reste un match sans enjeu.
Quelques jours avant le début de la déroute asiatique, la France reçoit la Belgique pour un amical où les camouflets vont se succéder entre défaite, mutisme et étoile anticipée…
Il y a quinze ans, Paul-Georges Ntep débarquait seul en France, pour vivre chez sa tante, à Grigny. Pour le gamin de Douala, c’est dans le 9-1 que tout a commencé. Le football, bien sûr, mais aussi les potes, qui racontent son arrivée chez les Bleus.
Axel Witsel : «À Dubaï, j’ai fait un mini-foot avec Zidane et ses kids»
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Pièce maîtresse du 11 de base de Marc Wilmots, Axel Witsel a des origines françaises grâce à son père, né en Martinique. Rencontre avec le paisible milieu de terrain fan de Zidane et… de Nicolas Anelka.
Encore une fois, comme depuis maintenant onze ans, Arsenal ne s’est jamais vraiment montré à la hauteur dans la course au titre. Mais comme l’année dernière, les Canonniers ont sauvé leur saison en soulevant la Cup. C’est déjà ça.
Top 10 : Les plus belles victoires belges face aux Français
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Ce soir, les Belges pourront s’appuyer sur une génération dorée. Hazard, Fellaini, Mertens, Benteke, des joueurs capables de déstabiliser les plus grandes nations. Marc Wilmots, lui, pourra s’appuyer sur dix victoires de prestige obtenues par les Diables rouges pour s’imposer en terres françaises.
Il aurait sans doute eu encore plus le sourire avec une victoire turinoise, 30 ans après le Heysel. Mais Michel ne s’est pas laissé faire et a livré une leçon de protocole, à la Michel. Au revoir Sepp.
Au terme d’une saison marquée par le baptême foiré de Claude Makelele en tant qu’entraîneur, des habituelles affaires extra-sportives et une finale de Coupe de la Ligue. Le Sporting a connu une 30e année en Ligue 1 sans encombres.
La Juve était condamnée au chef-d’œuvre, et Berlin a parfois cru en voir les couleurs. Mais ce n’était qu’une illusion. Le Barça, bien plus luxueux footballistiquement, nous a montré tout ce qu’il était en un seul match : patient mais dangereux, déséquilibré mais solide, spécial mais parfait.