Il y a 41 ans à Hambourg, la RDA battait à la surprise générale les frères ennemis de la RFA, sur un unique – très beau – but de Jürgen Sparwasser. Un but qui n’est pas sans conséquence pour ce héros d’un des matchs les plus politiques de l’histoire.
Le Brésil élimine le Venezuela, mais pas ses doutes
Le Brésil élimine le Venezuela, mais pas ses doutes
En s’imposant 2-1 grâce aux buts de Thiago Silva et Firmino sur la musique d’un bon Robinho, le Brésil a chopé la première place du groupe C, éliminé le Venezuela et qualifié la Colombie. Il affrontera le Paraguay en quarts.
En ouvrant le score dès l’entame de match, les Bleues se sont sacrément facilité la tâche contre une Corée du Sud trop peu inspirée. Après ce 3-0, la France s’apprête à affronter la redoutable Allemagne.
Incapable de battre le Pérou (0-0), la Colombie devra attendre le résultat du match entre le Brésil et le Venezuela pour savoir si elle sera des quarts de finale. Les Péruviens, eux, peuvent fièrement fêter la qualification.
Le week-end de la fête des pères sur le marché des transferts
Le week-end de la fête des pères sur le marché des transferts
L’Atlético lâche 52 millions pour une doublette, l’Inter 40 pour Kondogbia, City pourrait en lâcher 70 pour Sterling. Le mercato, cuvée 2015, est enfin lancé.
Geoffrey Kondogbia, à l’AS Monaco depuis 2013, vient de signer un contrat de 5 ans en faveur de l’Inter Milan avec un gros salaire à la clé. À 22 ans, l’international français va connaître son quatrième club en cinq ans.
Parfois salles de concert à ciel ouvert pour les superstars de la musique, les stades accueillent aussi en plein match pour un intermède musical. Des initiatives pas toujours couronnées de succès.
Le faux lent fait partie intégrante du jargon footballistique depuis des décennies. Entraîneurs, spectateurs ou journalistes l’utilisent à toutes les sauces pour qualifier tel ou tel joueur. À tel point qu’il peut être employé à mauvais escient. Oui, le faux lent n’est pas si facile à définir.
Neymar ou pas, Thiago Silva ou pas, Dunga ou pas, « je m’en bats les couilles », dirait Claude Makelele. Peu importent les absents et les changements de sélectionneur, le Brésil ne joue pas plus ni mieux : il traverse une crise de jeu.