Arrivé en star au PSG, et désormais remplaçant des remplaçants, Diego Lugano continue de porter le brassard en Uruguay. Moins concurrencé avec la Celeste qu’au PSG, Lugano jouit surtout chez lui d’un statut de référent national.
Peu importe le système et les hommes, une équipe qui joue bien au football est toujours faite des mêmes ingrédients : l’équilibre, la création et le mouvement. Comment Didier Deschamps les a-t-il mélangés ?
Éliminatoires – Mondial 2014 – Europe – Ce qu’il faut retenir
La galère anglaise
La galère anglaise
Le cachou de Konoplyanka face à l’Angleterre, les malheurs de Gerrard, le premier but en sélection de Destro, la Serbie et la Bosnie qui régalent, la passe décisive de Zlatan, les promesses roumaine et suisse, l’implacable Russie…
Sous l’impulsion du Munichois (passeur-buteur), les Français sont venus à bout d’une pauvre équipe de Biélorussie (3-1). Jallet et Lloris ont été à l’aise, Évra nettement moins.
Après une première mi-temps relativement correcte, les Bleus ont dû attendre une deuxième période compliquée pour faire la différence face à une faible équipe biélorusse (3-1). Sauf qu’à l’arrivée, ça fait six points sur six.
Annoncé chez les grands d’Europe, Étienne Capoue est finalement resté à Toulouse. Etonnant contre l’Uruguay, mais remplaçant contre la Finlande sans être entré en jeu, il connaîtra sa deuxième sélection ce soir, à la place de Diaby.
La relation entre Rio Mavuba et l’équipe de France n’a rien à envier aux histoires d’amour les plus compliquées. Appelé, blacklisté, rappelé puis oublié, le milieu de terrain du LOSC profite de la prise de pouvoir de Didier Deschamps pour se refaire une place au soleil.
Ce soir, au Stade de France (21h), les Bleus reçoivent le Belarus avec une double motivation : réussir une bonne opération comptable en prenant seuls la tête du groupe I en se payant une revanche sur une équipe contre laquelle ils n’avaient pris qu’un point sur six lors des éliminatoires du dernier Euro.
Après des mois de souffrances et de larmes, David Villa, tout doucement, retrouve le bonheur d’être sur le pré avec le Barça et la Roja. Véritable come-back ou simple tournée d’adieux ?