Pour avoir commis une infraction lors d’un contrôle anti-dopage, Juninho pourrait être suspendu deux ans. À 37 berges, une telle sanction serait vraisemblablement synonyme de fin de carrière pour le joueur le mieux évalué du championnat brésilien.
Lors du dernier match amical des Français face au Japon, au Stade de France, des ultras du PSG ont fait parler d’eux. 126 interpellations plus tard, So Foot revient sur ces évènements.
Le « nul victorieux » ramené de Madrid (1-1) doit avant tout à Didier Deschamps. Un gros coup qui a épaté la footosphère. Et qui trace désormais une ligne Deschamps dont les Bleus seraient bien avisés de ne pas dévier…
À la faveur d’une deuxième mi-temps volontaire, l’équipe de France a arraché un match nul salvateur en Espagne. Si Matuidi veut partir en Liga l’an prochain, ça devrait pouvoir se faire. Et pas à Levante.
La sélection française arrache un nul à Madrid (1-1). C’est un peu grâce à Valbuena et à Giroud. C’est surtout grâce aux Espagnols qui ont offert la deuxième mi-temps aussi. Merci à eux.
Pedro Munitis est le joueur d’une autre époque, celle où la France finissait toujours par gagner contre l’Espagne. Munitis s’est enfin arrêté de courir et a pris le temps de se rappeler ce fameux France-Espagne 2000 où il aura trituré les reins de Lilian Thuram.
Stendhal, Lamartine et Hugo n’auront pas suffi. Ce soir, le football espagnol viendra encore à bout du romantisme à la française, qui aura pour l’occasion des airs de rigueur et de discipline. La France doit « seulement » ne pas perdre. Mais comment ?
La cote de la victoire de l’équipe de France en Espagne est environ à 7 contre un sur tous les sites de paris en ligne. Les médias espagnols parlent même de « mission impossible » pour les Bleus. Mais toi, tu t’en fous.
Les phases de qualification d’une Coupe du monde ou d’un Euro sont toujours l’occasion de retrouver ces équipes qui ne connaissent qu’un seul credo : l’important, c’est de participer. Voilà le classement des cinq pires équipes d’Europe.
2608 ans après Crésus, Vicente Del Bosque connaît lui aussi des problèmes de riche. Avec un effectif pléthorique et ses choix cornéliens, le sélectionneur de la Roja se joue des dilemmes. Avec une facilité déconcertante.