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Tu sens que l’OM va perdre ce soir…
Tu peux être supporter de l’OM, supporter du PSG, supporter de Lens, tu sais que ce soir, c’est pas le soir de l’Ohème. Pour différentes raisons.
Tu peux être supporter de l’OM, supporter du PSG, supporter de Lens, tu sais que ce soir, c’est pas le soir de l’Ohème. Pour différentes raisons.
À bientôt 30 ans, Mathieu Bodmer reste une énigme. Vrai bon joueur ou espoir déchu ? Ni l’un ni l’autre. Le natif d’Évreux est surtout une perle rare. Un mec fait pour une seule chose : séduire les romantiques.
Talentueux, c’est souvent pour son comportement que Jordan Ayew se fait remarquer. Ce soir, face au PSG, le Ghanéen a l’occasion de disputer, à seulement 21 ans, sa 106e rencontre officielle avec l’OM. Un paradoxe pour ce pressé devant l’éternel.
Arsenal mené de 4 buts après seulement 37 minutes, et puis vint le triplé de Walcott et le doublé de Marouane Chamakh, oui oui, Marouane Chamakh. Revivez le match le plus fou de l’année et ses 12 buts !
Le Grand Stade aura dû attendre 117 minutes pour pouvoir exploser de bonheur. Entré en cours de match, Nolan Roux se mue en sauveur et envoie son équipe en quart de finale de la Coupe de la Ligue (1-0).
Ce soir, le téléspectateur français retrouve le meilleur homme du bord de touche du football hexagonal : Daniel Lauclair. Le journaliste de terrain ? Celui d’abord là pour annoncer les arrêts de jeu, les changements à venir (mais souvent après) et donner la météo. Portrait-robot.
Un PSG-OM en coupe. C’est à chaque fois le sourire chez ceux qui tirent les boules. Plus que la rivalité et le derby français, ce qui plait, c’est le côté « spécialiste de coupe ».
Loin de notre Coupe de France ouverte à toutes les surprises, la Copa del Rey est propriété de privilégiés. Entre héritage historique et consensus financier, son nouveau millésime ne devrait encore une fois n’émerveiller que Madrilènes et Barcelonais.
Samedi contre Valenciennes, on a beaucoup parlé du stade couvert de Lille. Avec toute cette effervescence, on aurait presque oublié que le LOSC n’est pas encore maître chez lui. Deux victoires en cinq matchs, c’est peu. Alors c’est quoi le problème ?
Comme souvent en Argentine, on a eu le droit à autant de commentaires sportifs qu’extra-sportifs à la suite du Superclasico entre River Plate et Boca Juniors. Une belle occasion pour les médias sensationnalistes d’accompagner les faits réels d’un beau n’importe quoi…