Meilleur buteur de l’histoire d’Arsenal, Thierry Henry a pris le risque de salir son souvenir en revenant l’an dernier. Pari gagné. Il retente le coup cette année. Arsène Wenger le veut même jusqu’à la fin de la saison. Le coup de trop ?
En Italie, le Genoa réalise un début de saison catastrophique. Le club génois est actuellement avant-dernier, a concédé dix défaites en seize journées, et a déjà connu deux entraîneurs. Mais que se passe-t-il donc, au Royaume de Ligurie ?
Ce Paris-là va mieux, c’est un fait. Il va même très bien. De ce déplacement à Valenciennes, on retiendra évidemment le triplé de Zlatan Ibrahimović, mais aussi et surtout les deux bons visages montrés lors de ce succès 4-0.
Comme d’habitude depuis quelques matchs, comme d’habitude devant les caméras de Canal, Toulouse n’a rien foutu sur la pelouse. Face à des Dogues nuls en première période mais libérés en seconde, ce n’est pas passé (2-0).
Tout va très vite, dans le football. Il a suffi au PSG de battre Porto et de baffer Évian pour revenir en grâce aux yeux des observateurs. Un renouveau du groupe parisien qui aurait pris ses racines autour de quelques parts de pizza…
Bon bah voilà, ça y est. En inscrivant ses 85e et 86e buts de l’année civile, Lionel Messi fait tomber le record d’un certain Gerd Müller, un record vieux de quarante ans. Hors de question cependant de le ranger dans un tiroir.
Hasard ou pas, le retour de Thiago Motta dans le onze du PSG a coïncidé avec le meilleur match des Parisiens. Carlo Ancelotti a passé son temps à déplorer l’absence pour blessure de son milieu de terrain. Aujourd’hui, on comprend mieux pourquoi.
Messi et Falcao qui rient, c’est Ronaldo qui pleure. Des trois cracks de la Liga, seul le Portugais a du mal à tenir le rythme. Loin du battage médiatique, le jeune espoir français Kondogbia, lui, fait son bonhomme de chemin à Séville.
Ce week-end, le Stade rennais n’a pas gagné le derby breton. Mais au fond, on s’en fout, parce que le génie Julien Féret a profité du Breizhico pour inscrire un nouveau but de grande classe. Quoi de plus logique pour un type qui pue le foot à plein nez ?
Lyon qui gagne le derby (comme d’habitude) et qui mène toujours la danse devant un PSG revigoré et un Marseille fatigué, le trio de la Ligue 1 s’articule décidément autour de l’axe PLM.