Lorient, Nancy et Châteauroux sont les seuls clubs professionnels français à avoir franchi le cap du terrain synthétique en compétition. Face aux nombreux avantages que présentent cette surface, pourquoi une telle levée de boucliers dans les autres clubs ? Éléments de réponse.
C’était un bien joli samedi soir, sur les pelouses de Ligue 1. La preuve en chiffre : 19 buts (et des beaux) en cinq matchs. Au final, Montpellier et Nice confirment leur bonne forme, respectivement face à Bastia (4-0) et Évian (3-2).
Réduits à neuf à la pause après l’exclusion de son aile gauche, le Téfécé a bien tenté de résister à l’OM. Mais André-Pierre Gignac est arrivé et a signé son retour d’une jolie lulu, copie conforme de celle signée par Payet mardi soir… contre Toulouse.
Largement dominateurs en première mi-temps, les Citizens ont ensuite longtemps souffert. Avec cette victoire à Newcastle (1-3) lors de la 17e journée de Premier League, Manchester City met la pression sur United.
Ce soir, au Stadio Olimpico, la Lazio, quatrième, reçoit l’Inter, deuxième. Un match entre deux équipes dont les supporters sont jumelés, mais qui, pour le coup, n’a rien d’une rencontre où l’on va se faire des faveurs et des fleurs.
Cette année, peut-être encore plus que les saisons précédentes, la Ligue 1 est « spéciale ». Entre un PSG qui enchaîne les 4-0, mais qui se fait battre par Rennes et Nice, un classement ultra-serré et un OM que l’on dit nul, mais qui est deuxième, tout a l’air possible. Visiblement, en Ligue 1…
Huit matchs, huit défaites. Les chiffres parlent d’eux-mêmes, Toulouse a comme un problème quand il est diffusé par la chaîne cryptée. Analyse d’un mal étrange avant la réception samedi de l’OM sur… Canal.
Aux commandes de la Real Sociedad depuis maintenant deux ans, Philippe Montanier devient petit à petit le nouveau Raynald Denoueix ibère. Dans une Liga qu’il connaît et apprécie, il livre ses impressions à presque mi-chemin de la saison.
Deuxième défaite consécutive pour Valenciennes (0-2), qui semble un peu à la peine en cette fin d’année 2012. De son côté, Rennes n’a pas toujours été très rassurant ni brillant, mais a su exploiter à fond la bonne forme de son duo Féret/Pitroipa.
5 choses que les Qataris pourraient aussi changer à Paris…
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Le PSG pourrait changer de logo. Pourquoi pas ? De nombreux clubs l’ont fait et le feront encore. Après s’être attaqué à la fleur de lys et au berceau de Louis XIV, les Qataris pourraient bien s’attaquer à d’autres symboles de la capitale.