Le mercato hivernal a commencé. Jusqu’au 31 janvier, on va entendre des rumeurs, des rumeurs et des rumeurs. En Italie, quelques joueurs pas franchement en odeur de sainteté avec leur club cherchent une nouvelle destination. À saisir.
Acheté pour 500 000 euros en janvier 2008 pour prendre la succession de Pauleta au PSG, Guillaume Hoarau devrait quitter la capitale pour la Premier League après cinq années de bons et loyaux services entre buts, maladresses et blagues Carambar.
Moins cher et plein de pépites, le marché français devrait une nouvelle fois exciter les émissaires des clubs étrangers. Si on avait des thunes, ce serait eux qu’on irait chercher.
La réception de la plus faible équipe de la League, et de loin, a fait dire à Rafael Benítez que c’était l’occasion de faire tourner son équipe. Grave erreur puisque QPR crée l’exploit à Stamford Bridge en l’emportant (1-0).
Si l’Espagne n’a plus vraiment d’argent ni de suspense, elle a encore eu des choses à raconter l’année dernière. La preuve en un peu plus de 26 lettres.
Le 8 août 2012, le PSG décide de débourser 43 millions d’euros pour s’offrir les services de « l’autre » prodige brésilien de l’ère Neymar. Cinq mois plus tard, il va enfin jouer au Parc. À quelle position ? Et pour faire quoi ?
Dis donc, il s’en est passé de drôles de choses en 2012. Maintenant que l’année de la fin du monde est terminée, on peut faire le point et dresser les bilans. En chiffres, bien sûr.
En 2012, Manchester City a remporté la Premier League, le Real la Liga, Dortmund la Bundesliga, Montpellier la Ligue 1, la Juv la Serie A, Chelsea la Ligue des champions, l’Espagne l’Euro. Mais si quelques détails avaient changé le cours de l’histoire, cela aurait donné quoi ? On est allé voir dans un passé parallèle.
L’Angleterre a beau être une île, on peut s’en échapper. Certains tricards aimeraient d’ailleurs profiter de la période du mercato pour aller voir ailleurs. Ça tombe bien, il y a des bons coups à faire. Et même des très gros.
Face à un Southampton loin de présenter le visage du promu timide, Arsenal a galéré. Au point de concéder un nul qui a quelque chose de miraculeux, dans la mesure où les Gunners ne doivent leur salut qu’à un malheureux contre son camp (1-1).