Qatar, Newcastle, Chine. Peu importe la destination que les joueurs de Ligue 1 ont choisie cet hiver, elle a été mauvaise. C’est en tout cas le point de vue dominant en France, où l’époque est à la critique systématique.
On avait évoqué Daniele De Rossi, Marek Hamšík ou encore Étienne Capoue. Ce sera finalement David Robert Joseph Beckham. La France va donc avoir droit à une bonne dose de charisme, d’émotion et de rêve. Mais aussi à un peu de football.
L’arrivée fracassante de David Beckham hier à Paris ne doit pas faire oublier toutes les autres transactions en France et en Europe. Où ça a bougé ? Qui a gagné au change ? Qui s’est fait dépouiller ? Le récapitulatif complet, pour ceux qui étaient en cure détox en thalasso.
Il n’y a pas que les transferts, au mois de janvier. Il y a aussi la reprise de tous les championnats européens, les buts de Cavani, les records de Rooney, la suite de l’invincibilité de Porto et Benfica, la première victoire de Nancy depuis le mois d’août. Bref, janvier, c’est bien.
Wesley Sneijder, Didier Drogba. Cet hiver, grâce à Galatasaray, la Turquie est passée à la vitesse supérieure. S’ils ont de quoi surprendre à première vue, ces transferts vers la Süper Lig ont une logique, tant d’un point de vue sportif qu’économique. Parce que la Turquie est une destination tendance. Explications.
Fin du monde oblige, un peu Victoria aussi, David Beckham a finalement mis un an pour rallier le PSG. C’est donc officiel et pour six mois. À bientôt 38 ans (en mai prochain), on se demande surtout pourquoi ?
Auteur d’une première partie de saison impressionnante avec le Stade rennais, Romain Alessandrini a convaincu Didier Deschamps de l’appeler pour ce premier rassemblement de 2013. Moins surprenante, mais tout aussi rafraîchissante, la présence de Raphaël Varane, étincelant hier face au FC Barcelone. L’autre hype du moment, Paul Pogba, reste à quai. Bacary Sagna, lui, fait son retour.
Oui, Michaël Ciani avait mis tout le monde mal à l’aise en mars 2010 face à l’Espagne, lors de sa seule et unique sélection. Invaincu avec la Lazio depuis quatre mois, l’ancien Bordelais a retrouvé son meilleur niveau. Et rêve d’un galop d’essai face aux Allemands.
Un Clásico, sans gardiens de but titulaires des deux cotés, sans buts de Messi/Ronaldo, sans scandale arbitral. Un duel au sommet bizarre et à la fois intense. Revue d’effectif d’un match qui ne ressemble à aucun autre.