S’il en est bien un à qui on incombe la renaissance de l’AS Nancy-Lorraine, c’est bien Patrick Gabriel. Lui, le formateur apprécié et écouté, le recruteur qui a ressuscité la formation lorraine et surtout l’entraineur en train de faire bien plus que de sauver le club de la L2. Et si le meilleur entraineur de L1 était tout simplement là ?
Alors qu’ils menaient 3 à 0 à la 78e minute, les Lillois se sont effondrés et ont perdu deux points face à de courageux et étonnants Sochaliens (3-3). Un sacré échec pour les uns, un bel exploit pour les autres.
Cette semaine, Zlatan a marqué contre Nice, reçu un petit bisou d’amour de Civelli, assisté à la débâcle espagnole en Ligue des Champions et préparé sa deuxième venue en dix jours au Parc des Sports d’Annecy. Si le Suédois prenait la plume pour raconter ses impressions, voilà ce que cela donnerait.
Monstrueux faces aux défenses sud-américaines souvent faiblardes, le minot à la crête peine à confirmer avec la Seleção face aux ténors du vieux continent. Question : le championnat brésilien est-il archi-faible ou bien Neymar est-il vraiment fort ?
Le dernier carré est sérieux. Il ne laisse pas de place aux figurants. Enfin si, mais de manière très spectaculaire. Que ce soit en Ligue des champions ou en Ligue Europa, il y a eu du level. Forcément, des mecs sont ressortis du lot.
C’est l’histoire d’un pays qui, dans les années 2000, chute de quelques étages dans la hiérarchie du football européen. Le pays, au fur et à mesure de sa chute, se répète sans cesse pour se rassurer : jusqu’ici tout va bien. Car au fond, il sait que ce qui est important, c’est pas la chute, c’est l’atterrissage.
Coefficient UEFA : Pourquoi le Portugal va continuer à emmerder la France
Coefficient UEFA : Pourquoi le Portugal va continuer à emmerder la France
Ce soir, Benfica se déplace en Turquie pour y défier le Fenerbahçe. En cas de victoire, le Portugal passerait devant la France au classement de l’UEFA par nations. L’occasion de comprendre comment et pourquoi.
Depuis hier soir, et la double victoire allemande face aux clubs espagnols, l’opinion publique s’extasie sur le football teuton et sur le « passage de pouvoir » entre Espagne et Allemagne. Oui, sauf que le foot allemand au haut niveau, c’est loin d’être une nouveauté. La preuve.
Pour le dernier match de la saison qui compte au Westfalenstadion, on a eu le droit à un Borussia Dortmund de gala. L’arrière-garde a fait le taf, le milieu a asphyxié l’entrejeu madrilène, et Lewandowski s’est gavé de Merengue.