Une première victoire des Bleus pour lancer l’Euro méritait bien une folie. Ça tombe bien, Paris offre quelques possibilités en matière d’édifices somptueux à utiliser pour qui sait être imaginatif.
Vendredi, les Bleus affronteront la Roumanie pour le match d’ouverture de l’Euro. En dehors du stade, les supporters français auront à coeur d’accueillir leurs homologues roumains dans les meilleurs conditions posisbles…
À deux semaines de l’Euro, les supporters de l’équipe de France sont chauds patate à l’idée d’accueillir leurs voisins… et de les battre, évidemment.
À deux semaines de l’Euro, les supporters de l’équipe de France sont chauds patate à l’idée d’accueillir leurs voisins… et de les battre, évidemment.
Jeudi 12 mai, Didier Deschamps lèvera enfin le suspense sur les 23 gaillards qu’il a sélectionnés pour représenter la France à l’Euro. 23 noms seulement, ça laisse peu de place à la fantaisie. On sait déjà qu’il y aura beaucoup de joueurs et de supporters déçus, et souvent à juste titre. Petit tour d’horizon de ces chouchous des supporters qui peuvent déjà poser leurs congés en juin.
Un titre qui se joue à la dernière journée, des maintiens arrachés dans les ultimes secondes, des tensions extrêmes, des scores fleuves, des buts improbables et des nuits de folie : l’ultime journée de la Ligue 1, ce n’est pas qu’un multiplex et un petit jingle entêtant, ce sont aussi des épilogues épiques.
Souvent, les téléspectateurs et les supporters des clubs de Ligue 1 se disent qu’ils auraient mieux fait de passer la soirée au cinéma plutôt que de somnoler devant un Rennes-Toulouse. Et si on pouvait faire les deux en même temps ?
Toujours plus haut, plus fort, plus vite : le PSG a encore écrasé la concurrence en Ligue 1, au point de gagner le titre à quasiment deux mois du terme de la compétition. Modestement, nous avons planché sur des solutions pour contrer Paris dès la saison prochaine et relancer le suspense. De rien, la L1 !
Ils brillent dans d’autres sélections alors qu’ils auraient pu évoluer avec les Bleus. Mais leur destin en a voulu autrement. Retour sur ces rencontres ratées.
Une grosse chance au tirage, une tempête divine, un entraîneur-joueur gueulard mais aimant, des casquettes en jaune et rouge, des moustaches monumentales et la poignée de main de Giscard d’Estaing : l’épopée de l’US Orléans lors de la Coupe de France 1979/80 était parfaite… jusqu’au coup de vice de Delio Onnis en finale au Parc des Princes.