Depuis mardi matin, le Real Madrid et Manchester United sont sur les lèvres de tous les fans des dernières heures du mercato. À l’origine des discussions de bureau, l’outil privilégié des transferts à l’arrache : le fameux fax.
Le mercato marseillais s’est terminé hier dans la confusion générale avec deux départs, trois arrivées et le raté Erik Lamela. Difficile de dresser un bilan de ces deux mois d’été, tant la grande foire qui vient de se dérouler sous nos yeux ébahis laisse un sentiment de perplexité, de suspicion et de colère mêlées.
Il l’a encore prouvé en tenant tête à Marseille dans le dossier Ben Yedder, Olivier Sadran est un négociateur à qui on ne l’a fait pas. Intraitable ou borné, le président du TFC n’est pas la bonne personne à défier au bras de fer pendant un mercato.
Un physique de déménageur breton, une agressivité débordante, mais une volonté de fer et un cœur en or. Ça, c’est Papy Djilobodji, surprise du dernier jour de mercato et désormais jeune disciple du maître Mourinho. Portrait.