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Les notes de Top Chef
Des candidats éliminés qui espèrent réintégrer le concours, la mythique épreuve de la Boîte noire, des chefs qui se chamaillent et qui mangent avec les doigts, et des favoris qui se retrouvent en dernière chance : malgré un montage un brin frustrant, l’édition hebdomadaire de Top Chef s’est avérée pleine de rebondissements.
joueurs
Adrien
Allez, barrez-vous les tâcherons, Adrien a décidé de se retrousser les manches et de retrouver son meilleur niveau. Le résultat : un coup de cœur grâce à une putain de salade verte.
754 note(s)
David
Le grand favori – et seul étoilé – du concours continue d’enchaîner les épreuves sans trembler, sans perdre une goutte de sueur ni sa bonne humeur. Il faudra beaucoup plus qu’un tourteau et de la betterave pour le sortir de là. Comme quoi les Reds restent indétrônables, même pendant le confinement…
670 note(s)
Diego
Il déborde de confiance en lui, il envoie des clins d’œil à la caméra, il se surnomme « Diego Terminator », il crie « Vamos ! » quand il réussit une sauce… Diego, il est presque aussi bon cuisinier qu’il est insupportable. Et pourtant, il est vachement bon cuisinier.
652 note(s)
Gratien
« Je peux pas rivaliser sur la technique. Moi, mon atout, c’est la gourmandise. » Le Petit Poucet de la coupe a donc décidé d’envoyer une flaque de salade au fond d’une assiette pour sauver sa tête dans le concours en espérant « que le goût fasse la différence ». Le petit comptable s’arrête ici, mais s’est sans doute découvert une nouvelle vocation en cours de route. N’est-ce pas là l’essentiel ?
651 note(s)
Mallory
Excité comme un épagneul de participer à l’épreuve de la Boîte noire et de rencontrer Pierre Gagnaire, il a plus sautillé sur place que cuisiné.
650 note(s)
Martin
C’est pas encore cette semaine qu’on parviendra à découvrir si Martin est un vrai candidat ou un PNJ qu’on a installé au fond de la cuisine pour faire illusion.
625 note(s)
Mory
Il s’est sauvé ric-rac d’une dernière chance avec son plat iodé sans iode, avant d’y retourner directement à cause de ses coéquipiers incapables de reconnaître une foutue crème au maïs. Alors que tout le monde le sait : quand on a dans son équipe un artiste comme Mory, on lui file la gonfle et on le regarde faire sa magie.
628 note(s)
Jean-Philippe
Jean-Philippe avait été éliminé dès la troisième semaine du concours. Si, si. Pas étonnant que personne ne s’en rappelle, parce que Jean-Philippe a moins de charisme que sa laitue. Laquelle a néanmoins assez de personnalité pour lui permettre de réintégrer le concours.
591 note(s)
Justine
Il y a des gens dont l’enthousiasme et la joie de vivre sont tels qu’ils irradient comme des rayons de soleil auprès de leur entourage. Justine, elle, irradie comme le cœur en fusion d’une centrale nucléaire. Et sa salade blindée de sel a affolé les compteurs Geiger du jury.
596 note(s)
Nastasia
Nastasia n’est pas un vrai être humain. Nastasia est un personnage de cartoon. La moindre émotion s’affiche sur son visage comme sur un écran 16/9e. Et quand elle a appris qu’elle devait préparer une salade, Nastasia, elle a tiré une tronche de douze mètres de long. Du coup, elle a foutu un demi-kilo de mascarpone dans son assiette pour rendre le plat plus gourmand. C’était bien tenté. C’est raté.
574 note(s)
Hélène Darroze
Hélène Darroze a trois ennemis dans la vie : le céleri, les plats sans graisse de canard et les espaces confinés. Autant dire que l’épreuve de la Boîte noire, pour elle, c’est une saloperie de cauchemar en cuisine.
566 note(s)
Paul Pairet
Toujours aussi humble et heureux d’être là, le fuoriclasse Pairet se rappellera avec émotion sa première fois dans la Boîte noire : il a mélangé tous les ingrédients, il a expliqué à Pierre Gagnaire ce qu’il avait raté dans l’assiette et il s’est fait engueuler par Etchebest. Mais à la fin, il était toujours aussi heureux d’être là.
594 note(s)
Michel Sarran
Dans les ténèbres de la Boîte noire, Michel Sarran s’est métamorphosé, et il est devenu la Machine Sarran, identifiant en quelques coups de langue toutes les saveurs, toutes les odeurs, le nom du bateau qui a pêché les huîtres et le groupe sanguin du mec qui a gavé les oies. Il y a au moins un Toulousain qui aura dominé le game cette saison.
613 note(s)
Philippe Etchebest
Le bouledogue Etchebest est parvenu à entrer puis ressortir de la Boîte noire sans renverser la table, dévorer l’assiette ou planter une fourchette dans l’œil de Paul Pairet. Considérons cela comme une épreuve réussie.
574 note(s)
Stéphane Rotenberg
Il n’a pas son pareil pour passer les plats, mais ce serait quand même chouette qu’il pense à expliquer les règles d’une épreuve avant qu’elle se termine. Parce qu’un entraîneur qui envoie ses mecs sur la pelouse sans leur expliquer le plan de jeu, il ne fait que la moitié du boulot.
499 note(s)
La boîte noire
La guerre des restos, la baston contre Philippe Etchebest, le défi consistant à faire manger des machins infects à des gamins : les « épreuves phares » ne manquent pas chez Top Chef. Mais aucune d’entre elles n’arrive à la cheville de la Boîte noire, qui en appelle à toutes les qualités d’un bon cuisinier et qui met tout le monde, même les chefs, en difficulté. Surtout quand le plat qui s’y cache est une composition de Pierre Gagnaire, avec environ 476 saveurs à identifier dedans. C’est ultra dur, ça s’achève dans l’urgence et le chaos, et c’est particulièrement gratifiant pour les cuistots. L’épreuve des héros.
529 note(s)
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Par Julien Mahieu